La banque d’investissement américaine note toutefois que la possibilité d’un retour de la production iranienne demeure source de «préoccupation»
Le ministre saoudien de l’Énergie, le prince Abdel Aziz ben Salman, a appelé les producteurs à résister à la tentation de tirer profit des prix de pétrole plus élevés
L'Arabie saoudite et la Russie ont décidé de poursuivre leur coordination pour soutenir la stabilité des marchés pétroliers et la croissance de l'économie mondiale
Riyad et Moscou célèbrent en février 95 ans de relations diplomatiques
Alors qu’à la fin de l'année dernière on parlait de Brent «bloqué» entre 50 et 55 dollars le baril, de nombreux experts le voient désormais à plus de 60 dollars en 2021
Les «trois grands acteurs» de la scène financière américaine - Bank of America (BoA), Goldman Sachs et JP Morgan (JPM) - ont tous récemment publié des perspectives positives concernant le pétrole
Le Brent, référence mondiale en termes de qualité et de prix, a dépassé 56 dollars le baril pour la première fois depuis février 2020
Eugen Weinberg, de la Commerzbank, explique que «l'Arabie saoudite s'assure, grâce à ses réductions volontaires supplémentaires, que le marché est sous-approvisionné, le cas échéant»
Le Brent Crude a atteint les 52,47 dollars/baril au moment où le prince s’exprimait, son plus haut niveau environ depuis mars, avant que la pandémie ne décime la demande énergétique mondiale
Selon les termes d’un accord historique conclu en avril qui a exécuté la réduction d'offre la plus considérable de l’histoire, les producteurs doivent procéder à une augmentation de 2 millions de barils par jour à partir du début de 2021