Au moins 21 Français parmi les victimes des explosions de Beyrouth, le parquet de Paris ouvre un enquête
Le Premier ministre Jean Castex a réuni à l'hôtel Matignon "les principaux ministres concernés pour coordonner l'ensemble des secours et aides" que la France envoie au Liban
La reine Elizabeth II s'est dite « profondément attristée » par les explosions meurtrières qui ont dévasté Beyrouth
Tel-Aviv va illuminer mercredi soir son hôtel de ville avec le drapeau libanais en solidarité avec le pays du Cèdre, avec lequel Israël est techniquement en état de guerre
« Beyrouth est partie, c’est fini. Beyrouth est partie, c’est fini ». Mais tout autour, l’entêtement sauvage de la survie, bien au-delà d’une ordinaire résilience
La dévastation prend à la gorge, de même qu’une odeur de décomposition. Est-ce du sang ? Des corps de victimes encore coincées sous les décombres ?
« Nous avons vécu 15 ans de guerre civile, puis une autre guerre en 2006 avec Israël, et des assassinats tout au long, mais c’est définitivement l’année du Liban en enfer »
« Nous sommes tous épuisés et drainés par les mauvaises nouvelles sans fin qui continuent d'apparaître sur nos téléphones »
Les déflagrations étaient notamment dues à l'explosion de quelque 2750 tonnes de nitrate d'ammonium
Les immeubles ont tremblé et les vitres ont été brisées à des kilomètres à la ronde. Le souffle a été ressenti jusque sur l'île de Chypre, à plus de 200 km