La COP26 va tenter de persuader quelque 200 pays de faire davantage pour réduire leurs émissions de carbone
Depuis la signature de ces accords, la transition vers une économie et des énergies plus propres a progressé, mais trop lentement pour limiter le réchauffement à 2°C
Depuis la signature des accords de Paris en 2015, la transition vers une économie et des énergies plus propres a progressé, mais trop lentement
Après l'ouverture de la COP26 le 31 octobre à Glasgow (Écosse), le gouvernement britannique disposera de deux semaines de rencontres afin de persuader quelque 200 pays de faire davantage pour réduire leurs émissions de carbone
AlMadani : « Aujourd'hui, la culture, les oasis et l’état actuel d’AlUla démontrent clairement pourquoi une économie circulaire du carbone et des pratiques durables sont indispensables pour que cette oasis se régénère »
La commission travaille déjà sur un complexe d'énergie solaire et renouvelable, qui produirait 500 MW de plus pour répondre à la demande croissante d'électricité d'ici 2035
Le World Weather Attribution (WWA), qui regroupe des experts de divers instituts de recherche dans le monde, s'est fait une spécialité d'analyser le lien possible entre un événement météo extrême précis et le réchauffement climatique
Le WWA compare le climat actuel, avec 1,2°C de réchauffement depuis le milieu du XIXe siècle causé par les activités humaines, avec ce qu'il aurait été sans cela, utilisant des modélisations et des observations dans le passé
Bank of America estime à 150 000 milliards de dollars le coût de la transition vers une énergie plus verte
Si un certain nombre de pays se sont engagés à atteindre des objectifs à long terme, centrés sur 2050 ou sur la fin du siècle, ils n’ont pas réussi à s’engager pour 2030, conformément à l’accord de Paris
Cette recherche a été menée par Christophe Bonneuil, directeur de recherche au CNRS, Pierre-Louis Choquet, sociologue à Sciences po, et Benjamin Franta, chercheur en histoire à l'université américaine de Stanford
Dès 1971, une publication dans la revue de Total expliquait que la combustion d'énergies fossiles conduit « à la libération de quantités énormes de gaz carbonique » et à une augmentation « assez préoccupante » de la quantité de CO2 dans l'atmosphère
«Cette idée m'est venue d'un sentiment d'impuissance. Cela fait des décennies qu'on voit la forêt brûler, de plus en plus ces dernières années, avec des niveaux record», confie cet artiste
Les incendies, qui surviennent après la déforestation, avec des brûlis pour faire place à l'agriculture et à l'élevage du bétail, ont aussi atteint des niveaux alarmants