La presse iranienne dans son ensemble estime néanmoins que ses chances d'obtenir l'aval du Conseil des Gardiens, chargé de valider les candidats, sont presque nulles
En 1988, Amnesty International avait qualifié ces exécutions de « politique préméditée et coordonnée qui a manifestement été autorisée par les autorités au plus haut niveau »
« Le moment est venu pour l'ONU, qui est la plus haute autorité internationale en termes de défense des droits de l'homme, de rompre le silence »
Le CPJ a déclaré ne pas en mesure de déterminer les fausses nouvelles imputées aux cinq accusés, les peines prononcées à leur encontre, ou même leur identité
«Les procès à huis clos de journalistes anonymes ne peuvent en aucun cas être pris au sérieux»
«Certaines accusations ont été portées contre la République islamique d'Iran sans preuves ni documents à l’appui»
Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Saeed Khatibzadeh, souligne que «ces réglementations et contextes ne relèvent pas des compétences de Agnès Callamard»