Face aux lecteurs du Parisien, la Première dame s'est encore attachée jeudi à humaniser le président et à défendre son action
Elle s'est dite aussi en faveur du port d'un uniforme - «simple et pas tristoune» - à l'école, la veille du jour où la question était débattue à l'Assemblée
«J'ai eu le sentiment que c'était une période sur laquelle j'allais revenir; peut-être pas tout de suite, parce que c'est compliqué d'aborder cette période de l’Histoire en France»
«La France a créé et armé les harkis, mais elle n’a pas assuré ses responsabilités vis-à-vis d’eux»
« Nous sommes en train de traverser une crise, des crises même», a-t-il lancé au début de l'émission L'Evénement sur France 2, en pointant la guerre en Ukraine et ses conséquences sur l'énergie et les prix
Emmanuel Macron s'est de nouveau livré à un exercice de pédagogie, graphiques à l'appui, face aux nombreuses questions des Français, de la défense de leur pouvoir d'achat à la réforme des retraites
Francophone et experte en communications stratégiques, Hend al-Otaiba évoque la récente visite d'État du président Mohammed ben Zayed en France
Elle organise par ailleurs à l’ambassade une série de discussions et de débats réunissant des experts français et émiratis, les Majlons, à la croisée des «Majlis» du Golfe et des «salons» de la France des Lumières
Dès la fin du défilé militaire et pendant une trentaine de minutes Emmanuel Macron répondra aux questions de Caroline Roux et Anne-Claire Coudray sur TF1 et France 2.
Ce n'est que la deuxième fois, après 2020, que le chef de l'Etat renoue avec cette tradition observée par ses prédécesseurs
L'amitié de longue date entre les deux pays a débuté par un dialogue stratégique il y a neuf décennies, permettant aujourd’hui l’exploration de nouveaux domaines de partenariat et de développement
À la veille de sa visite à Riyad, Luigi Di Maio souligne la vision commune de l'Italie et du Royaume, qui vise à maintenir les liens d'amitié et à relever ensemble les défis
En s'abstenant de publier les nouvelles pendant une journée, le quotidien libanais An Nahar a créé l’événement
Le journal a décidé de ne pas paraître le 2 février afin de mettre en lumière les manœuvres des responsables du gouvernement libanais destinées à annuler les élections parlementaires