Une étude révèle que la France accueille beaucoup moins d’immigrés que la moyenne des États de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE)
«La migration permanente a des effets positifs sur l’économie dans son ensemble et un effet neutre sur le marché du travail», explique une économiste
Derrière une banderole de tête proclamant «D'où que l'on vienne, où que l'on soit né.e, notre pays s'appelle solidarité», les manifestants ont défilé entre la Porte de la Chapelle et la place de la République, où ils sont arrivés en début d'après-midi
Le texte, qui doit être déposé début 2023, prévoit la création d'un titre de séjour pour les travailleurs sans-papiers dans les «métiers en tension», qui manquent de main-d’œuvre
Signe d'une volonté de repartir sur de nouvelles bases, la ministre française des Affaires étrangères Catherine Colonna, en visite dans la capitale marocaine, a annoncé « le retour à la normale» en matière d'attribution des visas aux Marocains
Cette «pleine coopération est effective depuis lundi dernier», a-t-elle précisé, lors d'une conférence de presse avec son homologue, Nasser Bourita
Pour faire adopter ce projet de loi, le gouvernement tente à travers un «montage équilibré» alliant «les expulsions» et «l’intégration» de parvenir à un certain consensus difficile à obtenir
Le mérite de cette nouvelle loi est de souligner la disposition du Parlement et du gouvernement à aborder ouvertement un sujet qui travaille et radicalise l’opinion
Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin et celui du Travail Olivier Dussopt, se succéderont pour défendre ce texte qui doit être officiellement présenté début 2023
Il comporte pour l'essentiel des mesures visant à rendre plus efficaces les procédures d'expulsions
Ils sont maçons, cuisiniers, agents d'entretien... Tous répondent aux critères de régularisation du gouvernement, qui veut créer un titre de séjour "métier en tension" à la faveur de son projet de loi sur l'immigration
Comme beaucoup, Moussa, qui dirige «une cinquantaine de personnes», travaille sous «alias», avec l'identité d'une autre personne. Son employeur l'ignore