« Depuis les débuts de la Troisième République il y a en France une liberté de blasphémer qui est attachée à la liberté de conscience. Je suis là pour protéger toutes ces libertés »
Mardi, Charlie Hebdo a décidé de republier, en Une, les douze caricatures de Mahomet qui en avaient fait une cible des jihadistes
« Le séparatisme, c’est de ne plus respecter les lois et les règles de la République au nom d’une religion ou d’une influence extérieure. C’est précisément contre cela que nous nous battons »
Six mois plus tard, le projet de loi a pour objet la lutte « contre toutes les formes de séparatisme »
Le mois dernier, un tribunal d'Istanbul avait refusé de libérer Ebru Timtik, en dépit d'un rapport médical indiquant que son état de santé ne lui permettait plus de rester en prison
Le mois dernier, un tribunal d'Istanbul avait refusé de libérer Ebru Timtik, en dépit d'un rapport médical indiquant que son état de santé ne lui permettait plus de rester en prison
« Toute tentative de museler la liberté d’expression sera vue par nous et par toute la communauté locale et internationale comme une tentative de cacher la vérité et de protéger les responsables du crime qui a eu lieu le 4 août »
« Nous comptons nous appuyer sur le drame du 4 août pour créer les conditions d’un réveil de la presse libanaise à l’égard de ses propres responsabilités »
Sous le titre "Cette ombre est là", le texte du manifeste pointe "plusieurs cas d'emprisonnement politique, de harcèlements et de répression
Le manifeste réclame la "libération de tous les prisonniers politiques et le droit de la population de chercher, discuter, analyser, critiquer (...) sans être diffamé
Parmi les signataires de la pétition figurent Louisette Ighilahriz, figure emblématique de la guerre d'indépendance, et la musicienne Souad Massi
Incarcéré depuis le 29 mars, il a été condamné lundi à Alger à trois ans d'emprisonnement et à une lourde amende pour "incitation à attroupement non armé" et "atteinte à l'unité nationale"
La justice algérienne a multiplié les poursuites judiciaires et les condamnations de militants du "Hirak", d'opposants politiques, de journalistes et de blogueurs
Khaled Drareni a pour sa part a assuré n'avoir fait que son "travail en tant que journaliste indépendant" et avoir exercé "son droit à informer