Depuis le 8 septembre, la France juge 14 hommes accusés, à des degrés divers, d'avoir participé aux attentats du 13 novembre 2015 survenus à Paris et en proche banlieue, et revendiqués par le groupe Etat islamique, qui ont causé la mort de 130 personnes
Salah Abdeslam, seul membre encore en vie des commandos, a justifié les attaques djihadistes en les présentant comme une riposte à la politique étrangère de la France et de son président d'alors
Aoun justifie l'opposition à la loi en invoquant des « facteurs naturels et climatiques » qui surviennent souvent en mars et pourraient empêcher le vote
Bassil pourrait bénéficier de ces développements et en tirer profit ailleurs, selon un analyste
«Notre justice s’est construite depuis longtemps dans le dialogue des juges au niveau européen. Ce dialogue a accompagné la construction politique de l’UE, il l’a précédé», a affirmé le président
Valérie Pécresse, qui vient de reprendre sa carte chez LR, a contesté la primauté du droit européen sur les «identités constitutionnelles» des Etats membres de l'UE
Après près de deux semaines de tensions, le président a annoncé jeudi « retirer les pouvoirs exécutifs » de son Premier ministre
Lors de son élection en février 2017, Mohamed Abdullahi Mohamed, dit Farmajo, qui a passé une partie de sa vie aux Etats-Unis où il a notamment travaillé à l'ambassade somalienne, incarnait l'espoir
A Cuba, «il ne s'agit pas d'un gouvernement qui réprime son peuple»
Miguel Diaz-Canel a dénoncé la diffusion d'«images fausses» sur les réseaux sociaux où l'on «encourage et glorifie l'outrage et la destruction des biens»
L'attention de la police haïtienne se porte sur un ressortissant haïtien ayant des « objectifs politiques », arrêté dimanche et accusé d'avoir recruté le commando qui a assassiné le président Jovenel Moïse
Christian Emmanuel Sanon, homme de 63 ans de nationalité haïtienne basé en Floride, serait arrivé dans le pays en juin « à bord d'un avion privé » accompagné de ressortissants colombiens
« Deux (...) qui ont péri dans l'opération de la police (haïtienne) et 15 Colombiens dont nous sommes en train de vérifier l'activité (...) auraient appartenu à l'armée nationale » et se sont désengagés entre 2018 et 2020
Au total, dix-sept personnes ont été arrêtées, quinze Colombiens et deux Américains