Cette «Brigade de répression des actions violentes motorisée» fait l'objet de très vives critiques depuis plusieurs mois
Certains membres se retrouvent sous le coup de plusieurs enquêtes pour des violences ou des menaces envers des manifestants en marge des rassemblements contre la réforme des retraites
A propos des actions qui se multiplient ces derniers jours lors des déplacements de membres de l'exécutif, M. Ruffin a dit être «pour», tant qu'elles «ne portent pas de la violence, ne font pas de blessés»
«La bataille est en cours: laissez jouer le match, éventuellement les prolongations, et si on doit aller aux penalties, on ira aux penalties», a poursuivi M. Ruffin
Députés comme sénateurs touchent une indemnité mensuelle de 7 493 euros bruts par mois, alignée sur le traitement des très hauts fonctionnaires du Conseil d’Etat
Depuis son instauration en 1789, «l'indemnité parlementaire a été l'objet de critiques féroces et régulières», rappellent le sociologue Etienne Ollion et le juriste Eric Buge
«Les conventions citoyennes», comme celle qui s'est récemment achevée sur la fin de vie, «sont une manière de dévitaliser nos institutions», a estimé le vice-président de LR
M. Bellamy a aussi écarté l'idée d'une «coalition» entre LR et Emmanuel Macron, qui ne dispose que d'une majorité relative à l'Assemblée
«Nous sommes toujours prêts à examiner ce qui améliore le fonctionnement de la démocratie: simplification, décentralisation, et nous y travaillons... Mais est-ce le moment», s'est questionné M. Larcher dans une interview au Parisien
De son côté, Emmanuel Macron martèle sa volonté d'avancer sur ce sujet, après avoir buté dessus lors de son premier quinquennat
Le patriarche maronite et le métropolite de l’archidiocèse grec-orthodoxe de Beyrouth ont ouvertement critiqué les députés qui cherchent à renouveler le mandat des municipalités
Les retraités de l’armée libanaise et les employés du secteur public envisagent de se rassembler sur la place Riad-al-Solh, à Beyrouth, non loin du siège du gouvernement
Le Parlement a été dissous conformément à la volonté du peuple, et la tenue de nouvelles élections s’accompagnera de certaines réformes juridiques et politiques, a déclaré cheikh Mishal
Le prince héritier, cheikh Mishal al-Ahmad al-Sabah, a fait cette annonce dans un discours prononcé au nom de l’émir, cheikh Nawaf al-Ahmad al-Sabah