La comédie «Everything Everywhere All At Once» mène la course aux Oscars

L'acteur britannique Rizwan Ahmed (à gauche) et l'actrice américaine Allison Williams lors de l'annonce des nominations pour les 95ème Oscars au Théâtre Samuel Goldwyn à Beverly Hills, Californie, le 24 janvier 2023. (Photo, AFP)
L'acteur britannique Rizwan Ahmed (à gauche) et l'actrice américaine Allison Williams lors de l'annonce des nominations pour les 95ème Oscars au Théâtre Samuel Goldwyn à Beverly Hills, Californie, le 24 janvier 2023. (Photo, AFP)
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Publié le Mardi 24 janvier 2023

La comédie «Everything Everywhere All At Once» mène la course aux Oscars

  • Avec son scénario déjanté versant dans la science-fiction, «Everything Everwhere All At Once» raconte l'histoire d'une propriétaire de laverie épuisée par ses tracas administratifs, soudainement plongée dans des univers parallèles
  • Sur les réseaux sociaux, un début de polémique entoure également la catégorie meilleur réalisateur, où ne figurent que des hommes cette année, dont l'incontournable Spielberg, déjà récompensé aux Golden Globes

LOS ANGELES: Le film "Everything Everywhere All At Once" a été nommé 11 fois aux Oscars mardi et mène la course aux prestigieuses statuettes, avec une rude compétition pour celle du meilleur film de la part de la tragédicomédie irlandaise "Les Banshees d'Inisherin" et du très personnel "The Fabelmans" de Steven Spielberg. 

Cette comédie indépendante avait connu un beau succès en salles lors de sa sortie au printemps. Elle devance "Les Banshees d'Inisherin" et le long-métrage allemand "A l'Ouest, rien de nouveau", nominés chacun dans neuf catégories. 

L'Académie a également honoré les blockbusters "Top Gun: Maverick" et "Avatar: la voie de l'eau", qui ont largement rempli les salles obscures trop souvent délaissées depuis la pandémie. 

Ils sont tous deux nominés pour le prix du meilleur film. Dans cette catégorie reine, ils devront entre autres faire face au biopic "Elvis" sur la légende du rock'n'roll, l'émouvant "The Fabelmans" dans lequel Steven Spielberg dévoile son enfance, l'impressionnant "Tar" où Cate Blanchett campe une cheffe d'orchestre impitoyable, et la dernière Palme d'or cannoise "Sans Filtre". 

Avec son scénario déjanté versant dans la science-fiction, "Everything Everwhere All At Once" raconte l'histoire d'une propriétaire de laverie épuisée par ses tracas administratifs, soudainement plongée dans des univers parallèles. 

Outre l'Oscar du meilleur film, ses créateurs Daniel Kwan et Daniel Scheinert sont également nominés pour l'Oscar du meilleur réalisateur. Les autres personnages de ce long-métrage valent également une nomination pour la statuette du meilleur second rôle à leurs interprètes, l'acteur Ke Huy Quan et les comédiennes Jamie Lee Curtis et Stephanie Hsu. 

Diversité, l'éternel débat 

Sa tête d'affiche, la Malaisienne Michelle Yeoh, a déjà remporté un Golden Globe début janvier. Elle est désormais la deuxième Asiatique dans l'histoire des Oscars a être nommée pour la statuette de la meilleure actrice et son duel avec Cate Blanchett ("Tar") s'annonce très disputé. 

Les autres nominations de cette catégorie sont toutefois susceptibles d'alimenter les critiques envers le manque de diversité des Oscars, routiniers du fait depuis le lancement du hashtag #oscarssowhite en 2015. Aucune actrice noire ne figure dans la liste, malgré les prestations remarquées de Viola Davis dans le film d'action "The Woman King" et de Danielle Deadwyler dans "Till", qui confronte le passé ségrégationniste de l'Amérique. 

L'Académie leur a préféré Ana de Armas, pour son interprétation d'une Marilyn Monroe perpétuellement brutalisée dans "Blonde", Michelle Williams, qui incarne la mère de Steven Spielberg dans "The Fabelmans", et Anbdrea Riseborough pour l'inattendu "To Leslie". 

Sur les réseaux sociaux, un début de polémique entoure également la catégorie meilleur réalisateur, où ne figurent que des hommes cette année, dont l'incontournable Spielberg, déjà récompensé aux Golden Globes. 

Pour le prix du meilleur acteur, Colin Farrell a été nominé pour son rôle d'insulaire irlandais accablé par la rupture soudaine des liens avec son ami de toujours, dans "Les Banshees d'Inisherin". Il affrontera notamment Austin Butler, plus vrai que nature dans son incarnation du mythe Elvis Presley, et Brendan Fraser, nommé pour son personnage de professeur obèse reclus chez lui dans "The Whale". 

Suspense  

Entre narrations ambitieuses ou originales et grands succès populaires, le suspense est à son comble cette année et les prédictions s'annoncent ardues. 

"Cette année est l'une des plus incertaines", résumait avant les annonces le journaliste spécialisé Clayton Davis, du magazine Variety. Il racontait avoir parlé "plus que n'importe quelle année" à de nombreuses sources parmi les votants de l'Académie des arts et sciences du cinéma pour sonder leurs votes et tenter d'y voir plus clair. 

"Et je n'en ai jamais su aussi peu de toute ma carrière!", avait-il ajouté. 

Les pronostics sont rendus encore plus compliqués par le récent afflux de nouveaux membres de l'Académie venus de l'étranger, et à qui certains attribuent par exemple le succès du film sud-coréen "Parasite", en 2020. 

Ces dernières années, l'Académie a récompensé des films indépendants moins connus du grand public, tels que "Nomadland" et "CODA". Dans ce contexte, le sort dévolu au deuxième volet d'"Avatar" et à la ronflante suite de "Top Gun" sera suivi de près le 12 mars prochain. 

Car les deux films sont largement vus comme des sauveurs de salles obscures en difficulté -- le géant Cineworld, numéro deux mondial de l'exploitation de salles de cinéma, a par exemple déposé le bilan cet automne. Le long-métrage de James Cameron a dépassé la barre symbolique des 2 milliards de dollars au box-office le week-end dernier, et celui de Tom Cruise a rapporté environ 1,5 milliard de dollars. 

Selon M. Davis, "Top Gun" 2 pourrait "remporter le prix du meilleur film". 


Symphonie d'écritures : Les calligraphes s'illustrent dans une exposition à Dammam

L'exposition présente également une gamme variée de pièces, chacune étant un mélange captivant de lignes, de courbes et d'ornements complexes qui semblent danser sur la page. (Hind Alkhunaizi/AN)
L'exposition présente également une gamme variée de pièces, chacune étant un mélange captivant de lignes, de courbes et d'ornements complexes qui semblent danser sur la page. (Hind Alkhunaizi/AN)
L'exposition présente également une gamme variée de pièces, chacune étant un mélange captivant de lignes, de courbes et d'ornements complexes qui semblent danser sur la page. (Hind Alkhunaizi/AN)
L'exposition présente également une gamme variée de pièces, chacune étant un mélange captivant de lignes, de courbes et d'ornements complexes qui semblent danser sur la page. (Hind Alkhunaizi/AN)
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  • L'exposition « The Pulse of Ink » réunit 30 artisans jeunes et expérimentés pour honorer le patrimoine culturel.
  • Pour compléter l'exposition, le groupe de calligraphie de Qatif a organisé une série d'activités attrayantes, notamment des ateliers pour les calligraphes en herbe.

DHAHRAN : : Au cœur de Dammam, la Société saoudienne pour la culture et les arts accueille l'exposition d'art calligraphique « Le pouls de l'encre », qui présente les œuvres du groupe de calligraphie de Qatif.

Les amateurs d'art et les esprits curieux ont jusqu'au 20 janvier pour découvrir les œuvres d'artistes renommés de la calligraphie et de l'ornementation, dont certains ont seulement 12 ans.

Pour compléter l'exposition, le groupe de calligraphie de Qatif a organisé une série d'activités attrayantes, notamment des ateliers pour les calligraphes en herbe.

Le premier atelier a été présenté par Hussein Bazroun, âgé de 14 ans, qui pratique la calligraphie depuis deux ans et demi.

La passion et le dévouement de Bazroun pour cet art sont une source d'inspiration pour les jeunes artistes comme pour ceux qui aspirent à le devenir.

D'autres ateliers seront consacrés à l'écriture Diwani, dirigés par le calligraphe Ali Al-Khuwaildi, et à l'écriture Ruq'ah, enseignée par son collègue Hassan Al-Radwan.

Parmi les talents présentés figure le calligraphe Ali Al-Kadhim, âgé de 12 ans, un prodige qui perfectionne son art depuis un peu plus d'un an et demi. Son talent témoigne de la mission du groupe qui est de promouvoir et de préserver l'art ancestral de la calligraphie arabe.

L'exposition présente également un large éventail de pièces, chacune étant un mélange captivant de lignes, de courbes et d'ornements complexes qui semblent danser sur la page.

Les objectifs du groupe de calligraphie sont divers et ambitieux. En organisant des ateliers, des expositions et des conférences, il promeut la calligraphie arabe en tant que forme d'art islamique et artistique, tout en soutenant les artistes locaux et en enrichissant le paysage culturel de Qatif.

Grâce à des concours et des expositions, ils encouragent la création d'une nouvelle génération de calligraphes qui perpétueront la tradition.

Pour Al-Khuwaildi, vice-président du groupe de calligraphie, la calligraphie est bien plus qu'un simple passe-temps : c'est un refuge, une source de réconfort et un moyen d'expression créative.

« Je suis tombé amoureux de la calligraphie à l'école primaire et, tout au long de ma vie, elle est devenue un refuge grâce à laquelle je trouve le réconfort », a-t-il déclaré à Arab News.

« Chaque fois que la vie m'accable, je reviens à la calligraphie comme un oiseau retourne à son nid. Ses paroles reflètent le pouvoir thérapeutique de la calligraphie, qui exige patience, dévouement et une compréhension approfondie des relations complexes entre les lettres, les lignes et les espaces.

Hassan Al-Bashrawi, secrétaire du groupe de calligraphie, a souligné l'attrait unique de la calligraphie arabe : « Elle allie deux qualités esthétiques essentielles : la construction artistique et les valeurs symboliques qui reflètent la civilisation islamique et le patrimoine arabe ».

Le parcours de M. Al-Bashrawi en tant que calligraphe a été marqué par une étude, une pratique et une collaboration intenses avec d'autres artistes. Par son travail, il jette les bases d'une renaissance, s'inspirant à la fois des ressources anciennes et des artistes contemporains.

Pour Muna Al-Muhanna, artiste talentueuse qui présente sa première pièce dans l’exposition, cette expérience est tout simplement exaltante.

« J'éprouvais un mélange de joie, d'accomplissement et de fierté en créant quelque chose en souvenir d'Allah, le Très-Haut », a-t-elle déclaré.

Captant l’essence de l’art ancien, elle ajoute : « Il me sépare du monde tangible et m’immerge dans un royaume de beauté représenté par la calligraphie. »

À l’exposition du Groupe de calligraphie Qatif à Dammam, les visiteurs seront accueillis par un festin visuel d’écritures complexes, d’ornements majestueux et d’expressions sincères de créativité.

Dans un monde dominé par la technologie, cette célébration de la calligraphie arabe nous rappelle la beauté, la spiritualité et l’intemporalité de l’art manuscrit.

Que vous soyez amateur d’art, passionné d’histoire ou simplement quelqu’un qui apprécie la beauté du langage, vous serez sans doute émerveillé par la magie qui se produit lorsque le papier rencontre le stylo.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com


Le prix saoudien de la création d'entreprises de mode se hisse en phase finale

Les gagnants auront l'opportunité de se rendre à Paris pour un mentorat exclusif avec les équipes de développement durable de Kering et de présenter leurs innovations lors du sommet ChangeNOW 2025. (X @KeringGroup)
Les gagnants auront l'opportunité de se rendre à Paris pour un mentorat exclusif avec les équipes de développement durable de Kering et de présenter leurs innovations lors du sommet ChangeNOW 2025. (X @KeringGroup)
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  • Plus de 100 startups ont postulé et 20 ont été sélectionnées pour participer à un camp de formation de trois jours à Riyad.
  • Burak Cakmak, le PDG de la Fashion Commission, a déclaré que la durabilité était au cœur de la vision de la Commission pour l'avenir de l'industrie.

Riyad : la Fashion Commission et le groupe de luxe Kering ont lancé le processus de sélection des lauréats du Kering Generation Award X Saudi Arabia.

L'initiative vise à soutenir les startups innovantes ayant un impact significatif sur l'industrie de la mode, a rapporté l'agence de presse saoudienne.

Le processus de candidature a débuté en novembre 2023, invitant les startups à soumettre leur candidature et à promouvoir la durabilité. Plus de 100 startups ont postulé et 20 ont été sélectionnées pour participer à un camp de formation de trois jours à Riyad.

Le programme comprenait des ateliers axés sur les indicateurs de performance clés, la définition d'objectifs et les compétences en matière de présentation.

Le 14 janvier, les 20 start-ups présélectionnées se sont réunies à Riyad pour la présentation finale, au cours de laquelle chaque candidat a été évalué sur l'engagement des clients, l'économie circulaire et la protection de l'eau.

Après les présentations, le processus d'évaluation a commencé pour sélectionner les dix meilleures propositions, qui seront évaluées par le jury selon les critères suivants : innovation, pertinence, lien avec la mode et impact potentiel sur la nature et la société.

La cérémonie de remise des prix aura lieu le 27 janvier à Riyad, où les trois lauréats seront annoncés.

Les lauréats auront la possibilité de se rendre à Paris pour bénéficier d'un mentorat exclusif avec les équipes de développement durable de Kering et de présenter leurs innovations lors du sommet ChangeNOW 2025.

Burak Cakmak, directeur général de la Commission de la mode, a déclaré que le développement durable était au cœur de la vision de la Commission pour l'avenir du secteur.

Il a ajouté que le prix visait à mettre en lumière et à soutenir les startups innovantes dans le domaine de la mode circulaire et de la gestion de l'environnement.

M. Cakmak a souligné l'engagement de la Commission à promouvoir des solutions qui répondent aux défis actuels et ouvrent la voie à un avenir durable dans le secteur de la mode.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com


Christina Aguilera et Michael Bublé se succèdent sur la scène des Joy Awards de Riyad

Christina Aguilera foule le tapis rouge des Joy Awards à Riyad, le 18 janvier. (Getty Images)
Christina Aguilera foule le tapis rouge des Joy Awards à Riyad, le 18 janvier. (Getty Images)
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  • Les Joy Awards sont le plus grand événement organisé en Arabie saoudite pour honorer les principaux artistes du monde arabe.
  • Les lauréats ont été sélectionnés par le public via une application lancée par l'Autorité générale du divertissement.

RIYADH : Les Joy Awards annuels ont honoré les talents arabes lors d'une soirée de gala au Kingdom Arena de Riyad, samedi.

La cérémonie a débuté par un concert de Christina Aguilera, qui a interprété The Voice Within et son tube Genie in a Bottle.

Les icônes musicales Mohammed Abdo et Andrea Bocelli ont quant à eux offert une prestation alliant les sonorités du Golfe et de l'Italie.***

Le chanteur libanais Wael Kfoury et l'artiste canadien Michael Buble ont collaboré à une interprétation saisissante de My Way de Frank Sinatra, en anglais et en arabe.

Samedi, lors de la cérémonie, Amanda Seyfried, Morgan Freeman et Matthew McConaughey ont fait sensation sur le tapis lavande emblématique aux côtés de célébrités internationales et locales.

Le chanteur libanais Wael Kfoury et l'artiste canadien Michael Buble ont collaboré à une interprétation saisissante de « My Way » de Frank Sinatra, en anglais et en arabe. (X, anciennement connu sous le nom de Twitter)
Le chanteur libanais Wael Kfoury et l'artiste canadien Michael Buble ont collaboré à une interprétation saisissante de « My Way » de Frank Sinatra, en anglais et en arabe. (X, anciennement connu sous le nom de Twitter)

Le chanteur libanais Wael Kfoury et l'artiste canadien Michael Buble ont collaboré à une interprétation saisissante de My Way de Frank Sinatra, en anglais et en arabe.

Samedi, lors de la cérémonie, Amanda Seyfried, Morgan Freeman et Matthew McConaughey ont fait sensation sur le tapis lavande emblématique aux côtés de célébrités internationales et locales.

Morgan Freeman avec sa partenaire Lori McCreary aux Joy Awards. (Getty Images)
Morgan Freeman avec sa partenaire Lori McCreary aux Joy Awards. (Getty Images)

Pour rendre hommage à sa première visite dans le Royaume, l'actrice américaine Kate Siegel a assisté à la cérémonie en portant une robe blanc nacré avec des drapés noirs de la marque saoudienne Abadia.

« Je l'ai choisie parce que je voulais représenter les créateurs saoudiens et la mode, en particulier ici, à Riyad, qui est un centre de la mode saoudienne », a-t-elle déclaré.

En hommage à sa première visite dans le Royaume, l'actrice américaine Kate Siegel a assisté à la cérémonie vêtue d'une robe blanche nacrée aux drapés noirs de la marque saoudienne Abadia. (Getty Images)
En hommage à sa première visite dans le Royaume, l'actrice américaine Kate Siegel a assisté à la cérémonie vêtue d'une robe blanche nacrée aux drapés noirs de la marque saoudienne Abadia. (Getty Images)

L'actrice libanaise Nawal Kamel est arrivée dans une robe noire et cloutée d'argent conçue par sa styliste libanaise préférée, Joelle Nemnum.

« Je n'arrive pas à croire que je suis ici. Je suis très excitée à l'idée de rencontrer le peuple (saoudien) de près. Je connais beaucoup de gens du Liban, mais être ici et voir les gens du pays, qui sont si différents et si incroyables, c'est extraordinaire. Ils (les Saoudiens) sont si gentils et si accueillants - ils vous soutiennent vraiment et prennent soin de vous. Je suis tellement reconnaissante d'être ici et d'assister à la remise des Joy Awards », a-t-elle déclaré. 

Amanda Seyfried est arrivée dans une robe Valentino rouge vif (Getty Images).
Amanda Seyfried est arrivée dans une robe Valentino rouge vif (Getty Images).

Organisés au Kingdom Arena, les Joy Awards sont le plus grand événement d'Arabie saoudite qui distingue et récompense les principaux artistes du monde arabe. L'événement fait partie de la Saison de Riyad et est co-organisé par le groupe MBC.

Les lauréats ont été sélectionnés par le public via une application lancée par l'Autorité générale du divertissement. Les candidats étaient répartis en différentes catégories. Les nominés ont été soigneusement choisis par des comités spécialisés en fonction de leurs efforts et de leurs réalisations au cours de l'année écoulée.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com