Rehman s’est dit préoccupé par les informations selon lesquelles certaines «fosses communes» sont en train d’être détruites dans une volonté d’étouffer l’affaire des assassinats politiques de 1988
Raïssi fait l'objet de sanctions américaines pour son passé, qui inclut notamment sa supervision, avec trois autres juges, des assassinats massifs de prisonniers politiques en 1988
L'élection à la présidence de l'Iran d’un fidèle de Khamenei, pourrait faciliter les relations entre l'Occident et Téhéran, avec davantage de cohérence à la tête du pays
Mais son ultraconservatisme et son bilan sur le plan des droits humains, pourraient être pour autant sources de complications et de conflits
Un panel organisé jeudi par le Conseil national de la Résistance iranienne a réuni des diplomates et des experts des droits de l'homme à Londres
Le groupe d'experts prévient qu’en tant que criminel contre l’Humanité, Raïssi pourrait être arrêté s'il quitte le pays, en plus d’être empêché d'assister aux assemblées de l'ONU
Agé de 60 ans, cet hodjatoleslam, est depuis plus de trois décennies dans le système judiciaire iranien, dont il est à la tête depuis 2019
«Raïssi est un pilier d'un système qui emprisonne, torture et tue les gens qui osent critiquer l'Etat», déclare Hadi Ghaeni, directeur du Centre pour les droits de l'Homme en Iran, basé à New York.
Le bébé de Goudarzi aurait été utilisé comme outil de torture, le 24 septembre 1983. Il était âgé de 38 jours
Marandi explique que, une fois la condamnation signée, Raïssi s'est rendu dans la salle d'exécution. Là-bas, il était tour à tour bourreau et superviseur