La capitale française, longtemps à la traîne derrière Londres et New York, devient une place forte de l'art d'Afrique
Lorsque le Royaume-Uni a choisi de sortir de l'Union européenne, «il y a eu un rapatriement des activités à Paris», souligne la galeriste Carole Onambélé Kvasnevski
Elle pose un regard décalé sur les étals des souks et les architectures environnantes et s’en inspire pour créer des œuvres en 3D avec des objets du quotidien
Sa vie d’expatriée à Dubaï lui fournit la matière d’un ouvrage illustré : « Diary of a Parisian In Dubai » où elle raconte en dessins et avec un humour attachant sa découverte de l’émirat
«Je décrirais mes œuvres comme chaotiques et pleines de vie. Je n’ai pas de direction unique et j’aime mélanger les styles, mais une touche de couleur doit absolument être incluse dans mes peintures»
«J’aime sentir la peinture et la toucher. L’art n’a pas de règles, il n’y a pas de bien ou de mal. Tout ce que vous faites est de l’art et les possibilités sont infinies»
Sorti major des Beaux-Arts d'Abidjan, Désiré Mounou Koffi commence par sillonner les rues, les caniveaux, les décharges pour récupérer des claviers et écrans de vieux téléphones portables
Il revendique d'essayer «de résoudre un problème», dans un pays où le tri sélectif est quasi inexistant et où les déchets se retrouvent dans les rues
Le Japonais jette des ponts entre ses œuvres bien réelles d'art contemporain et leur réalité augmentée et virtuelle dans le métavers
Dans l'immense galerie Gagosian, à New York, Takashi Murakami construit des passerelles entre les beaux-arts traditionnels, le pop-art japonais et les NFT