La position de M. Macron de ne pas employer le terme de «génocide» a fait réagir dans la journée le porte-parole de la diplomatie ukrainienne, Oleg Nikolenko, qui l'avait jugée «décevante»
Mardi, Joe Biden avait pour la première fois accusé Vladimir Poutine de mener un «génocide» en Ukraine, mot jusque-là employé par le chef d’État ukrainien Volodymyr Zelensky mais jamais par l'administration américaine
Orban a invité Poutine venir à Budapest pour des discussions avec les dirigeants ukrainien, français et allemand. «Il a dit oui, mais avec des conditions», a-t-il précisé, dans donner plus de détails
La Hongrie, membre de l'UE et de l'Otan, n'a pas nommément condamné Poutine depuis le début de l'offensive militaire russe, même si elle a condamné l'invasion de Moscou
«La situation dans le domaine énergétique s'aggrave à cause de mesures grossières, qui ne sont pas liées au marché, notamment la pression administrative sur notre société Gazprom dans plusieurs pays européens»
Ces propos interviennent alors que l'Allemagne a annoncé la veille prendre le contrôle temporaire d'une filiale allemande du géant gazier, Gazprom Germania