«Je m'attends à un accord dans la semaine à venir, ou les deux semaines à venir environ», a déclaré un responsable européen
La diplomatie américaine a de son côté évoqué jeudi des «progrès substantiels», jugeant une entente possible «dans les prochains jours» si l'Iran «fait preuve de sérieux»
Les missiles, connus sous le nom de «Dezful», «Qiam» et «Zolfaghar», avec des portées annoncées allant jusqu'à 1 000 kilomètres, sont des modèles déjà connus
Ils sont du même type que ceux utilisés pour frapper les bases américaines en Irak, selon un reportage de la télévision officielle
Pour des diplomates, Téhéran joue simplement le temps pour accumuler plus de matériel et de savoir-faire
Les puissances mondiales et l'Iran retournent à Vienne lundi dans un ultime effort pour sauver l'accord nucléaire de 2015, mais peu s'attendent à une percée
Après cinq mois de suspension, liées à l'élection d'un nouveau président iranien, Ebrahim Raïssi, les négociations doivent reprendre à Vienne pour tenter de sauver l'accord de 2015 (JCPOA) censé empêcher Téhéran de se doter de l'arme nucléaire
Ces discussions se tiennent entre Téhéran et les autres parties signataires (France, Allemagne, Royaume-Uni, Russie et Chine) encore présentes
«Nous ne quitterons pas la table des négociations, mais nous nous opposerons aux exigences excessives qui nuiraient aux intérêts du peuple iranien»
«Nous ne reculerons en aucun cas sur les intérêts du peuple iranien, nous poursuivrons les efforts pour neutraliser (les effets) des sanctions oppressives et nous agirons pour leur levée»