La banque a abandonné les charges retenues contre Bassam al-Sheikh Hussein et un juge a donc ordonné sa libération
Jeudi, M. Hussein avait fait irruption dans une agence du centre-ville de la Federal Bank, réclamant, fusil à la main, ses plus de 200 000 euros d'économies bloqués depuis l'effondrement bancaire au Liban
Le procureur général du Liban a relâché l'homme après que la banque a abandonné les poursuites contre lui, a rapporté Al Arabiya TV
L'homme, âgé de 42 ans, s'était rendu après que les autorités ont annoncé à sa famille qu'il recevrait 35 000 dollars de son argent, et qu'il ne serait détenu que pour des interrogatoires
En recevant une partie de ses économies (35 000 dollars), Bassam a, dans une certaine mesure, réussi à faire plier les responsables. Les hiérarchies elles-mêmes ont cette tendance à se dissoudre à force d’être contestées
Considéré comme un «Robin des bois» , Bassam Cheikh Hassan sort de la banque plusieurs heures plus tard sous escorte policière, acclamé par la foule aux cris de « Bassam, tu es un héros »
Bassam Cheikh Hussein, âgé de 42 ans, est sorti de la banque entouré par les forces de sécurité. Quant aux otages, ils sont également sortis sains et saufs
À l'extérieur, des gens se sont rassemblés dans la zone en guise de solidarité avec Hussein en scandant: «À bas le règne des banques!»
La banque de détail, rassemblant notamment les réseaux d'agences Société Générale et Crédit du Nord amenés à fusionner à partir de l'an prochain, affiche une progression de son produit net bancaire de 8,5% sur un an
Boursorama, la banque en ligne du groupe, a passé en juillet la barre des 4 millions de clients
Le rapport indique qu'aucune grande banque ne s'est engagée à mettre fin au financement de nouvelles explorations pétrolières et gazières
L'évaluation a été préparée par l’Institutional Investors Group on Climate Change (IIGCC), dont plus de trois cent cinquante membres sont principalement des gestionnaires et des propriétaires d'actifs
Le gouvernement présentera mercredi un projet de loi qui «abrogera des centaines de règles de l'UE régissant le secteur, afin qu'elles puissent être remplacées par un régime flexible et cohérent adapté au Royaume-Uni»
Le texte est très attendu par le secteur, mais il suscite aussi des craintes que Londres n'aille trop loin dans la dérégulation et n'empiète notamment sur les pouvoirs des régulateurs