L'OPA sur les 15,9% du capital lui restant à acquérir se fera sur la base d'une offre de 12 euros l'action, et de 15,64 euros par OCEANE (obligation convertible)
Cette opération coûterait 9,7 milliards d'euros, selon le ministère de l'Économie
Emmanuel Macron a expliqué le 14 juillet que l’État préparait un "plan de sobriété" énergétique pour faire face au risque de pénurie liée à la guerre en Ukraine, appelant à "rentrer collectivement dans une logique de sobriété"
Ce protocole pourra servir "de base à l'ensemble des fédérations du commerce et de la distribution pour la généralisation de ces mesures", qui leur seront présentées "lors d'une réunion le 26 juillet"
Les entreprises sud-africaines, petites et grandes, souffrent en termes de productivité mais aussi de coûts, alors qu'elles préféreraient embaucher pour oublier le blues post-pandémie
Chaque «stade» de privation d'électricité coûte au pays l'équivalent de 29 millions d'euros par jour, selon une déclaration gouvernementale en mars
Que l'État passe de 84% du capital, comme aujourd'hui, à 100%, quelle différence cela fait-il ?
D'abord, cela permettrait à EDF, très endetté, de se financer et d'emprunter à coût modéré. Sur fond de difficultés de production du parc nucléaire, l'agence S&P a menacé fin mai de dégrader encore sa note de solvabilité
Avec des vagues de chaleur toujours plus fréquentes, Paris souhaite agrandir son réseau méconnu de «froid urbain» pour maintenir à bonne température ses monuments grâce à l'eau de la Seine
Développer le réseau de froid permet d'éviter le recours à «l'usage intense» de la climatisation individuelle, gourmande en électricité et émettrice de gaz à effets de serre
Le député Insoumis Adrien Quatennens a pour sa part rappelé sur BFMTV-RMC que «l'Etat a été condamné deux fois pour inaction climatique» et fustigé un quinquennat précédent «d'irresponsabilité écologique»
«On a un gouvernement qui semble faire mais qui a souvent fait semblant», a pour sa part tranché le socialiste Boris Vallaud dans une interview au quotidien Les Echos.
Coupures d'électricité incessantes, inflation, insécurité... les Libyens subissent de plein fouet le chaos qui frappe leur pays depuis la chute en 2011 du régime de Mouammar Kadhafi
Les infrastructures sont déficientes, l'économie à terre, les services défaillants