En 2019, M. Navalny et son frère Oleg avaient déposé plainte en France pour «dénonciation calomnieuse» estimant qu'Yves Rocher les avait injustement accusés d'escroquerie en Russie, où le groupe de cosmétiques est implanté depuis 1991
En 2012, la justice russe avait ouvert une enquête sur de supposés détournements de fonds qui auraient été commis par la société Glavpodpiska, détenue par les frères Navalny, au détriment de la filiale russe du groupe français, Yves Rocher-Vostok
Placée en liquidation judiciaire en juillet 2021, la société Mirror Trading International (MTI) garantissait aux investisseurs des rendements potentiels de plus de 100% par an
Avec la popularisation de l'industrie des cryptomonnaies, les cas de fraude se sont multipliés ces dernières années
Début avril, un juge avait rejeté sa demande de rester en liberté en attendant l'appel de sa condamnation
Mais les avocats de l'ancienne entrepreneuse ont fait appel de cette décision mardi, elle reste donc en liberté le temps que la cour statue sur son sort
L'accusation d'usage de faux relevés de compte, qui n'avait pas été signalée auparavant, est contenue dans des documents envoyés à Salamé par les autorités judiciaires françaises avant une audience prévue en France le 16 mai
Salamé a déclaré que sa fortune provenait de la bonne gestion de l'épargne qu'il avait amassée au cours de sa carrière de banquier d'affaires
Les détracteurs du milliardaire républicain ont aussi exprimé leur frustration face à une inculpation qui pourrait, in fine, servir sa candidature à la présidentielle de 2024
Le 45e président des Etats-Unis est accusé d'avoir maquillé les comptes de son entreprise pour dissimuler le paiement de 130 000 dollars à une star du X juste avant l'élection de 2016
Pour beaucoup de célébrités, une telle photo est plutôt synonyme de déchéance
Donald Trump serait le premier ancien président dont la photo figurerait dans les dossiers de la police américaine, mais pas le premier homme politique
Aucun des onze hommes, tous de nationalité turque, jugés devant le tribunal correctionnel de Paris notamment pour «financement du terrorisme» et extorsion, ne reconnaît ouvertement être membre de l'organisation
L'enquête a débuté en 2020 avec deux signalements pour «disparitions inquiétantes» dans le sud-est de la France et, à quelques mois d'écart, de deux femmes kurdes âgées de 18 et 19 ans