Plus de 106.000 entrées irrégulières dans l'UE ont été enregistrées depuis la route des Balkans occidentaux sur neuf mois, soit une hausse de 170% par rapport à la même période de l'an dernier
La Commission explique cette hausse en partie par le fait que les pays des Balkans occidentaux voisins de l'UE, et particulièrement la Serbie, pays candidat à l'UE depuis 2012, ont une politique de visas qui n'est pas alignée sur celle de l'UE
Selon Blinken, l'Afghanistan reste «depuis un an le seul pays au monde où les filles sont systématiquement interdites d'aller à l'école au-delà de la sixième»
Les talibans, qui ont repris le pouvoir en août 2021 après le retrait des Américains, ont interdit l'enseignement secondaire (collège et lycée) aux filles
«A côté des grands mouvements migratoires en provenance d'Ukraine, nous voyons de plus en plus de gens venir en Europe via la mer Méditerranée et la route des Balkans, et cela m'inquiète», a déclaré Nancy Faeser
La Serbie «doit adapter ses règles à celles de l'Union européenne», a insisté Mme Faeser
Une cinquantaine d'activistes ont participé à ce sit-in symbolique à l'appel de l'AMDH et de la Ligue marocaine pour la défense des droits de l'Homme (LMDDH)
Parmi leurs griefs: la non justification du refus des visas, selon eux, et le non remboursement des frais de dossiers
«A la date du 1er septembre, aucun des 56 représentants russes (...) n'a reçu de visa d'entrée pour les Etats-Unis» dans la perspective de la semaine de haut niveau de l'Assemblée générale (...), écrit l'ambassadeur russe
«Les Etats-Unis prennent au sérieux leurs obligations en tant que pays hôte de l'ONU», a assuré un porte-parole du Département d'Etat américain
«Les visas touristiques ne vont pas s'arrêter complètement, mais leur nombre va diminuer de manière significative»
La Finlande traite actuellement près de 1 000 demandes de visas par jour venant de Russie, a déclaré M. Haavisto à la télévision publique finlandaise YLE
La tournée de la star marocaine en Europe prévue en octobre est également compromise
Les demandeurs sont dorénavant soumis à un véritable parcours du combattant et n’ont aucune assurance d’obtenir le visa, même s’ils remplissent toutes les conditions requises