«Si les populations ne peuvent plus se nourrir ou travailler leurs terres, elles n'ont que peu d'alternatives au déplacement», explique Amy Pope, directrice adjointe de l'Organisation internationale pour les migrations (OIM)
Pour la Banque mondiale, en 2050, si rien n'est fait, il y aura 216 millions de migrants climatiques, des familles forcées de se déplacer au sein même de leur pays, dont 19,3 millions dans les cinq pays d'Afrique du Nord