Près de 600 000 Afghans sont depuis arrivés au Pakistan, espérant pour beaucoup obtenir l'asile dans des pays tiers
La vie au Pakistan est dure pour ces réfugiés qui n'ont pas le droit de travailler, ne peuvent souvent pas scolariser leurs enfants, ont du mal à se faire soigner, manquent d'argent et peinent à faire renouveler leurs visas
M. Sharif, qui a été trois fois Premier ministre du Pakistan, est actuellement en liberté sous caution après avoir fait appel de condamnations pour corruption
Un responsable de la Haute cour a confirmé la décision du tribunal dans ce dossier relatif à de luxueux biens immobiliers achetés par sa famille
Cinq soldats, dont deux membres des commandos d'élite ont été tués et un autre a été blessé
Le Cachemire, territoire himalayen à majorité musulmane, est divisé entre l'Inde et le Pakistan qui, depuis leur indépendance en 1947, en revendiquent la souveraineté sur sa totalité
Au moins 210.000 Afghans, dont beaucoup ont vécu 40 ans hors de leur pays, sont passés par Torkham ces deux derniers mois, depuis que le Pakistan a déclaré les sans-papiers indésirables
Ils sont ensuite partis vers diverses provinces afghanes, avec 15 000 afghanis (190 euros) en poche -- juste de quoi faire vivre une famille pendant un mois. Et souvent rien, ni personne, ne les attend
Des millions d'Afghans ont afflué au Pakistan au cours de décennies de guerre, dont au moins 600 000 depuis le retour au pouvoir des talibans à Kaboul en août 2021
Beaucoup ont peur de rentrer en Afghanistan, où le gouvernement taliban a imposé son interprétation rigoriste de l'islam
Le gouvernement pakistanais a donné jusqu'à mercredi aux sans-papiers vivant sur son sol - essentiellement des Afghans, dont il estime le nombre à 1,7 million - pour en partir d'eux-mêmes, sans quoi ils seront expulsés
Au total, plus de 100 000 migrants afghans sont déjà rentrés en Afghanistan depuis l'annonce de ce plan début octobre
L'affaire concerne un câble diplomatique de l'ambassadeur du Pakistan aux Etats-Unis, que M. Khan a présenté comme la preuve d'un complot américain contre lui soutenu par les militaires pakistanais
Les Etats-Unis et l'armée pakistanaise ont démenti cette affirmation
Des partis politiques et religieux ont organisé des rassemblements dans les villes de Karachi, Lahore, Peshawar et dans la capitale Islamabad, où les drapeaux américain et israélien ont été brûlés
A Peshawar, un manifestant, Shahid Husain, 47 ans, a estimé que les dirigeants des pays musulmans, comme le Pakistan, ne faisaient pas assez pour soutenir les Palestiniens