Entrecôte Petit Louis ouvre son troisième restaurant en Arabie saoudite

Le chef Brice Alexandre explique l'intérêt d'introduire de la cuisine française, comme l’entrecôte, dans le cadre du développement de la Vision 2030 (Photo, Fournie)
Le chef Brice Alexandre explique l'intérêt d'introduire de la cuisine française, comme l’entrecôte, dans le cadre du développement de la Vision 2030 (Photo, Fournie)
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Publié le Samedi 10 avril 2021

Entrecôte Petit Louis ouvre son troisième restaurant en Arabie saoudite

  • La recette de l’entrecôte proposée par le chef Brice Alexandre est la plus proche possible de la cuisine traditionnelle française, explique le directeur du restaurant Entrecôte Petit Louis
  • Entrecôte Petit Louis prévoit d'ouvrir d'autres restaurants dans le Royaume, après la fête de l’Aïd, et de développer sa branche de Djeddah

RIYAD: Si vous recherchez le goût parisien authentique de l'entrecôte dans le royaume saoudien, vous aurez de fortes chances de tomber sur Entrecôte Petit Louis à Riyad. 

Ayant initialement ouvert ses portes à Djeddah en 2017, Entrecôte Petit Louis a su fidéliser les amateurs d’entrecôte française. Le restaurant, qui a ouvert le 15 mars une nouvelle branche à Riyad, fait déjà le plein, bien qu’il ait fait peu ou pas de campagnes promotionnelles. 

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L'intérieur du troisième restaurant Entrecôte Petit Louis à Riyad (Photo, Fournie)

Directeur et tête pensante d'Entrecôte Petit Louis, le chef Brice Alexandre, âgé de 37 ans, cuisine depuis l'âge de 15 ans et il a trois diplômes, en pâtisserie, cuisine, et boulangerie, ce qui fait de lui un expert de la cuisine française authentique et de l'art classique de maîtriser les vraies saveurs de l'entrecôte. 

Pour ceux qui n'ont jamais goûté la recette de l'entrecôte du chef Brice Alexandre, il s'agit d'un filet de bœuf grillé, de haute qualité, délicieusement tendre et nappé d’une onctueuse sauce au beurre agrémentée de fines herbes, servi avec des frites fraîches salées et croustillantes, une salade de noix et du pain. 

Le chef Alexandre a invité Arab News à découvrir sa sauce spéciale entrecôte dans sa cuisine, affirmant que de nombreux clients rendent leurs assiettes complètement vides. La «sauce secrète» d'Entrecôte Petit Louis est composée de nombreux ingrédients complexes, d'épices, d'herbes, de beurre, ainsi que d'autres saveurs variées qui rendent le plat si unique. 

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La technique traditionnelle de présentation de l'entrecôte, filet de bœuf grillé saignant nappé d’une sauce «secrète» (Photo, Fournie)

Le menu d’Entrecôte Petit Louis commence par une salade de noix classique, composée de laitue croustillante fraîchement hachée, assaisonnée d'une vinaigrette et d’une moutarde crémeuse au miel, et parsemée de noix croquantes. 

Le plat principal est présenté aux clients qui ont le choix: profiter de l'entrecôte parisienne classique servie avec des frites, ou de poisson avec des frites Petit Louis. 

Traditionnellement, les restaurants ne servent que la version classique de l’entrecôte, mais le restaurant français a choisi de se diversifier.  

«Lorsque le client arrive au restaurant, notre concept est de lui offrir une entrée, avec deux choix de plats et de desserts. Nous lui demandons s'il préfère le poisson ou la viande, et s'il choisit la viande, nous lui demandons aussi quel degré de cuisson il préfère», précise le chef Alexandre. 

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Brice Alexandre, un chef chevronné ayant plus de vingt-trois ans d'expérience dans la cuisine française, explique l'importance de l'utilisation d’ingrédients de haute qualité pour retrouver l’authentique saveur française (Photo, Fournie)

L'Entrecôte Café de Paris est le véritable plat principal, et le chef Alexandre utilise de la viande de haute qualité. «Nous utilisons le filet de bœuf, car il contient très peu de gras et c'est la partie la meilleure et la plus tendre», confie-t-il. Le filet de haute qualité est ensuite grillé, et reste parfaitement tendre et fondant. 

«Le degré idéal de cuisson est bleu ou saignant, mais en Arabie saoudite, les gens préfèrent que l’entrecôte soit bien cuite», raconte le chef français à Arab News. Les serveurs encouragent les clients à essayer une version moins cuite, même moyennement saignante, pour contribuer à intensifier les saveurs qui explosent en bouche.  

Une fois que les invités ont apprécié leur plat principal, ils peuvent déguster des desserts: crème brûlée, mousse au chocolat, glace, tarte aux pommes ou panna cotta. 

Brice Alexandre affirme que la recette l’entrecôte qu’il propose est la plus proche possible de la cuisine traditionnelle française. Il utilise des ingrédients de la plus haute qualité pour garantir les saveurs les plus authentiques possible aux nouveaux clients comme aux habitués. 

Le chef décrit l'importance de l’introduction de la cuisine française en Arabie saoudite, avec de nouveaux goûts et saveurs, à mesure que progresse la Vision 2030: «Nous ouvrons des restaurants français pour permettre aux gens de découvrir la gastronomie et le savoir-faire de la France.» 

Après la fête de l’Aïd, Entrecôte Petit Louis prévoit d'ouvrir d'autres restaurants dans le Royaume, et de développer par la suite la branche de Djeddah. 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur arabnews.com 


Anthony Hopkins enchante Riyad avec une symphonie onirique

L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
Anthony a remercié Turki Al-Sheikh, président de la General Entertainment Authority, de l'avoir invité à se produire à Riyad. (Photo Fournie)
Anthony a remercié Turki Al-Sheikh, président de la General Entertainment Authority, de l'avoir invité à se produire à Riyad. (Photo Fournie)
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  • Présentée par Morgan Freeman, l'icône hollywoodienne se penche sur le langage universel de la musique
  • Un concert en Arabie Saoudite : un honneur inimaginable, dit Hopkins

RIYADH : Dans un mélange captivant d'art et d'humanité, l'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé "La vie est un rêve", dans le cadre des festivités de la Saison de Riyad.

Présenté par son collègue acteur Morgan Freeman, Hopkins a commencé son discours par la salutation arabe "As-salamu alaykum", donnant ainsi le ton du respect culturel et de l'unité.

Hopkins a partagé ses réflexions sur la vie et l'art, s'inspirant des mots d'Edgar Allan Poe : "J'ai toujours cru que tout ce que nous voyons ou semblons être n'est qu'un rêve à l'intérieur d'un rêve".

L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)

Il a remercié Turki Al-Sheikh, président de la General Entertainment Authority, de l'avoir invité à se produire à Riyad.

C'est avec une grande humilité et une immense gratitude que je présente ma pièce, "La vie est un rêve", dans le cadre de la Saison de Riyad", a-t-il déclaré.

Se remémorant sa vie, il a décrit le chemin parcouru depuis le "fils d'un simple boulanger" du sud du pays de Galles jusqu'à un compositeur et un acteur de renommée mondiale.

"Pour moi, ma vie est un profond mystère", a-t-il déclaré. "Il est impossible de comprendre ou de s'attribuer le mérite des bénédictions qui m'ont été accordées. C'est pourquoi je crois que la vie est un rêve, et cette pièce, "Life is a Dream", m'a été inspirée par mon enfance rêveuse dans le sud du pays de Galles, par ma mère qui m'a merveilleusement soutenu et par mon père, qui était plus grand que nature et qui a travaillé sans relâche tout au long de sa vie.

Hopkins a invoqué la philosophie de Ralph Waldo Emerson, soulignant que la musique et l'art sont des connecteurs spirituels.

"La musique et l'art sont des chemins vers Dieu, le principal moyen de relier toutes les âmes humaines. Emerson a compris que toucher une âme, c'est toucher toutes les âmes et je crois moi aussi que la musique a un pouvoir de transformation", a-t-il déclaré.

L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)

"J'ai toujours rêvé d'être compositeur, mais je n'ai jamais su comment. Pourtant, donner ce concert en Arabie saoudite, berceau de l'islam, où le prophète Mahomet a reçu ses messages et où se trouvent les villes saintes de La Mecque et de Médine, est un honneur inimaginable".

Abordant les défis mondiaux, M. Hopkins a souligné l'importance de l'unité et de la paix.

"Je ne peux imaginer un meilleur endroit qu'ici pour nous rassembler, surmonter nos différences et envisager un monde de paix, d'équilibre et d'amour", a-t-il déclaré.

"À 87 ans, je comprends parfaitement que la mort est inévitable. Mais le thème de ce concert est que la vie est un long adieu à tout ce que nous aimons, un adieu prolongé, mais rempli de pardon et d'émerveillement".

M. Hopkins a conclu en remerciant l'équipe qui a rendu ce concert possible, en particulier Rakan Al-Harthi, directeur général de Sela, son producteur musical Stephen Barton, le chef d'orchestre Matthew Freeman et le Royal Philharmonic Orchestra. Il a terminé son discours par "Shukran".

Grâce à cet événement, Hopkins a non seulement mis en valeur ses talents musicaux, mais il a également laissé une impression durable sur la Saison de Riyad, en soulignant le pouvoir unificateur de l'art et de la musique dans la promotion de la tolérance, de l'amour et de la compréhension entre les cultures.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com

   

Le mouvement Slow Food s'implante à AlUla

AlUla dévoile le centre d'art culinaire de Dadan, qui célèbre le mouvement slow food, la durabilité et les traditions culinaires. (Photo Fournie)
AlUla dévoile le centre d'art culinaire de Dadan, qui célèbre le mouvement slow food, la durabilité et les traditions culinaires. (Photo Fournie)
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  • Le Centre d'art culinaire Dadan est un centre d'éco-gastronomie qui allie patrimoine et système alimentaire durable.
  • Le marché fermier de Dadan, qui met en valeur les richesses agricoles de la ville tous les week-ends avec un éventail de produits frais et saisonniers, est l'un des sites incontournables d'AlUla.

RIYADH : grâce à l'ouverture du Centre d'art culinaire Dadan, la ville d'AlUla accueille un nouveau foyer du mouvement slow food. Ce centre célèbre l'agriculture durable, les traditions alimentaires locales et les repas réfléchis.

Ce mouvement mondial vise à favoriser un lien plus profond entre les consommateurs et leurs sources de nourriture, en prônant l'utilisation d'ingrédients saisonniers et locaux, et en soutenant tous les membres de la communauté, des valeurs qui ont guidé le développement d'AlUla en tant que destination durable.

Le Centre des arts culinaires Dadan est un centre mondial d'éco-gastronomie qui allie l'héritage de l'oasis verdoyante d'AlUla aux valeurs contemporaines d'un système alimentaire équitable et durable.

Situé près du site historique de Dadan, le centre propose des repas, des ateliers interactifs et la possibilité de rencontrer les agriculteurs d'AlUla, le tout dans un cadre naturel d'exception.

Le marché fermier de Dadan, qui met en valeur les richesses agricoles de la ville tous les week-ends avec un éventail de produits frais et saisonniers, est l'un des sites incontournables d'AlUla.

Les familles locales, dont les moyens de subsistance sont étroitement liés à l'agriculture de l'oasis, présentent leurs produits et invitent les visiteurs à découvrir les saveurs authentiques d'AlUla. Les visiteurs peuvent savourer des plats préparés selon des méthodes traditionnelles ou choisir des produits frais à déguster sur l'aire de pique-nique, adoptant ainsi la philosophie « de l'oasis à la table » qui est au cœur de la mission du centre. Chaque achat soutient directement les agriculteurs locaux.

Le restaurant Diyar du centre, nommé d'après le mot arabe signifiant « maison », offre une expérience gastronomique inoubliable. Chaleureux et accueillant, il surplombe les montagnes majestueuses et sert des plats préparés à partir d'ingrédients provenant de sources durables et cultivés localement. Sous la direction du chef primé Sergio Rama, il redéfinit l'hospitalité en transformant des repas simples en une célébration de la communauté et du patrimoine.

Une autre façon d'en savoir plus sur AlUla et ses habitants est de participer aux ateliers du centre, qui enseignent les pratiques durables et les traditions locales. 

Qu'il s'agisse d'apprendre les principes fondamentaux de la cuisine de la ferme à la table, de maîtriser les arts de la saumure et de la fermentation ou d'explorer les multiples utilisations du moringa dans les huiles et les savons, les participants acquièrent des connaissances pratiques sur de multiples pratiques artisanales et alimentaires.

Grâce au centre d'art culinaire Dadan, AlUla invite le monde à redécouvrir le plaisir d'une cuisine saine et traditionnelle dans son oasis intemporelle.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com


« Unstoppable » : Une sortie attendue mais réjouissante

"Unstoppable" met en scène Jharrel Jerome dans le rôle de Robles, Jennifer Lopez dans celui de sa mère Judy et Bobby Cannavale dans celui de son beau-père Rick. (Fourni)
"Unstoppable" met en scène Jharrel Jerome dans le rôle de Robles, Jennifer Lopez dans celui de sa mère Judy et Bobby Cannavale dans celui de son beau-père Rick. (Fourni)
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  • Le film "Unstoppable" raconte l'histoire réelle d'Anthony Robles, un lutteur américain qui a remporté le championnat national de lutte universitaire de 125 livres (57 kg) en 2011 bien qu'il soit né avec une seule jambe
  • Le problème avec les films de sport (ou du moins les bons), c'est qu'il faut vraiment s'appuyer sur tous les clichés et embrasser toutes les expressions qui font chavirer le cœur

LONDRES : Il est facile d'oublier qu'il arrive parfois que l'on attende simplement une dose de bonnes vibrations d'un film — et peu de genres s'y prêtent mieux que le biopic sportif.

Le film "Unstoppable" raconte l'histoire réelle d'Anthony Robles, un lutteur américain qui a remporté le championnat national de lutte universitaire de 125 livres (57 kg) en 2011 bien qu'il soit né avec une seule jambe.

Réalisé par William Goldenberg (scénariste et monteur de renom, qui fait ici ses débuts en tant que réalisateur), "Unstoppable" met en scène Jharrel Jerome ("Moonlight", "When They See Us") dans le rôle de Robles, avec Jennifer Lopez dans le rôle de sa mère Judy et Bobby Cannavale dans le rôle de son beau-père Rick.

Déjà talentueux lutteur au lycée, Robles rate la bourse d'études dont il rêvait, mais choisit de payer pour aller à l'université d'État de l'Arizona et gagner une place dans l'équipe de lutte de l'établissement.

Malgré le comportement abusif de Rick à la maison, Robles continue de gagner la confiance de ses coéquipiers. Soutenu par la foi inébranlable de sa mère et de son entraîneur au lycée (joué par Michael Pena), il se montre non seulement digne de sa place, mais aussi un athlète capable de performer sur la scène nationale.

Le problème avec les films de sport (ou du moins les bons), c'est qu'il faut vraiment s'appuyer sur tous les clichés et embrasser toutes les expressions qui font chavirer le cœur. Parce que, si vous le faites - et si le film a un casting décent qui fait un travail sérieux - le résultat en vaut la peine.

C'est le cas de "Unstoppable", un film aussi déterminé que son protagoniste du monde réel. Bien sûr, il y a quelques éléments de l'histoire qui sont évoqués puis abandonnés. Bien sûr, la montée en puissance de l'épreuve de force est plus que prévisible.

Mais ce film bénéficie de l'excellente performance de Jerome (aidé par des effets et des cascades absolument parfaits, qui voient Robles lui-même exécuter certaines séquences de lutte), et d'une distribution secondaire immensément talentueuse.

Lopez, Cannavale et Peña jouent tous très bien leur rôle, mais Don Cheadle mérite également des éloges pour son interprétation en tant qu'entraîneur et mentor de Robles à l'université.

S'agit-il de l'exploration la plus sophistiquée du monde de la lutte universitaire ? Non. Mais s'agit-il d'un film chaleureux et décent qui vous fera du bien ? Absolument.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com