L'Iran et la Turquie sont les voisins des Arabes. Nous ne sapons pas leur civilisation et leur histoire, et nous respectons leurs peuples et leurs croyances. Cependant, ce qui arrive parfois, c'est que cette nation ou celle-là, pendant un certain temps, peut faire face à des problèmes et des tribulations avec l'arrivée de nouveaux dirigeants à la barre, alors qu'ils arrivent à contrôler le sort de ces peuples, qui sont laissés sans défense.
Le Parti de la justice et du développement en Turquie et le régime des mollahs en Iran sont deux manifestations de ce genre de situation par excellence. Aujourd'hui, ils jouent avec la politique de leurs deux pays et les plongent dans des problèmes et des différends, nourrissant de mauvaises intentions et de la haine pour la nation arabe.
Nous n'avons pas besoin de démontrer à quel point le nationalisme persan s'est infiltré dans le tissu social arabe. Nous avons entendu à plusieurs reprises des responsables du régime iranien déclarer que Téhéran a réussi à exporter sa révolution, qu'elle augmente son influence et en est parvenue à contrôler la prise de décision politique dans quatre pays arabes par le biais de milices sectaires qui lui sont subordonnées.
NDLR: Mosaïque est une revue de presse qui offre au lecteur un aperçu sélectif et rapide des sujets phares abordés par des quotidiens et médias de renommée dans le monde arabe. Arab news en français se contente d’une publication très sommaire, revoyant le lecteur directement vers le lien de l’article original. L’opinion exprimée dans cette page est propre à l’auteur et ne reflète pas nécessairement celle d’Arab News en français.