L’Arabie saoudite inaugure un taxi aérien sans pilote pendant la saison du Hajj

Le taxi volant, lancé en Arabie saoudite, est le premier du monde à être agréé par une autorité de l’aviation civile. (SPA)
Le taxi volant, lancé en Arabie saoudite, est le premier du monde à être agréé par une autorité de l’aviation civile. (SPA)
Le taxi volant, lancé en Arabie saoudite, est le premier du monde à être agréé par une autorité de l’aviation civile. (SPA)
Le taxi volant, lancé en Arabie saoudite, est le premier du monde à être agréé par une autorité de l’aviation civile. (SPA)
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Publié le Mercredi 12 juin 2024

L’Arabie saoudite inaugure un taxi aérien sans pilote pendant la saison du Hajj

  • Mercredi, M. Al-Jasser a assisté au décollage vertical du véhicule autonome lors de la cérémonie de lancement
  • Le ministère souhaite également mettre en place des environnements expérimentaux afin de favoriser l’essor des futures technologies de transport

LA MECQUE: L’Arabie saoudite a inauguré un service pionnier de taxis aériens sans pilote destiné aux pèlerins pendant la saison du Hajj de cette année.

Ce taxi volant électrique assurera le transport des pèlerins entre les lieux saints et facilitera le transfert rapide des urgences et des fournitures médicales ainsi que la livraison de marchandises, a rapporté l’agence de presse saoudienne (SPA).

Le ministre saoudien des Transports et des Services logistiques, Saleh ben Nasser al-Jasser, a précisé que ce taxi volant était le premier du monde à être agréé par une autorité de l’aviation civile.

Mercredi, M. Al-Jasser a assisté au décollage vertical du véhicule autonome lors de la cérémonie de lancement en présence d’Abdelaziz al-Duailej, président de l’Autorité générale de l’aviation civile (Gaca), de Rumaih al-Rumaih, vice-ministre des Transports et des Services logistiques, et de plusieurs représentants d’entités connexes.

Le ministre a indiqué que l’inauguration du taxi volant s’inscrivait dans le cadre des efforts qui visent à utiliser les dernières technologies de transport et à adopter des modèles de transport innovants et respectueux de l’environnement qui reposent sur des applications d’intelligence artificielle.

Conformément aux objectifs de la Stratégie nationale en matière de transport et de logistique, le Royaume cherche à moderniser le secteur des transports en lançant des taxis volants, des voitures électriques et des trains à hydrogène.

M. Al-Jasser a souligné que le ministère s’efforçait d’améliorer la mobilité intelligente et d’élaborer une législation, des lois et des systèmes qui permettent l’utilisation des technologies modernes.

Le ministère souhaite également mettre en place des environnements expérimentaux afin de favoriser l’essor des futures technologies de transport.

Le président de la Gaca, Abdelaziz al-Duailej, a affirmé que ce taxi volant figurait parmi les initiatives les plus importantes de la feuille de route sur la mobilité aérienne avancée, qui a pour but de réduire le temps de déplacement des passagers dans les zones congestionnées – en particulier en cas d’urgence –, de faciliter le transport de marchandises et de fournitures médicales ainsi qued’effectuer des tâches de surveillance et d’inspection de manière rapide.

Le taxi aérien fait partie des trente-deux technologies modernes mises en œuvre pour servir les pèlerins lors de la saison du Hajj de cette année.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Syrie: six mois après sa prise du pouvoir, les défis d'Ahmad al-Chareh

Cette photo diffusée par l'agence de presse officielle arabe syrienne (SANA) montre le président intérimaire de la Syrie, Ahmed al-Sharaa, recevant le ministre des Affaires étrangères de l'Arabie saoudite à Damas, le 31 mai 2025. (AFP)
Cette photo diffusée par l'agence de presse officielle arabe syrienne (SANA) montre le président intérimaire de la Syrie, Ahmed al-Sharaa, recevant le ministre des Affaires étrangères de l'Arabie saoudite à Damas, le 31 mai 2025. (AFP)
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  • En six mois, le nouvel homme fort de Syrie Ahmad al-Chareh a réussi à se positionner sur la scène internationale et obtenir la levée des sanctions
  • M. Chareh a dissous les anciens services de sécurité et l'armée et instauré une stabilité relative

DAMAS: En six mois, le nouvel homme fort de Syrie Ahmad al-Chareh a réussi à se positionner sur la scène internationale et obtenir la levée des sanctions, mais il doit encore instaurer un système de gouvernance fiable et redresser l'économie, en maintenant l'unité du pays.

Quels sont les principaux défis du président intérimaire qui a renversé, à la tête d'une coalition islamiste, Bachar al-Assad le 8 décembre?

- L'édification de l'Etat -

Lorsqu'il a pris le pouvoir, Ahmad al-Chareh s'est retrouvé avec un gouvernement central à Damas, un autre en charge du bastion rebelle d'Idleb qu'il contrôlait, et un troisième supervisant les zones des groupes proturcs et l'administration autonome kurde.

Pour Radwan Ziadeh, directeur exécutif du Centre syrien d'études politiques et stratégiques à Washington, "instaurer la stabilité dans un pays aussi fragile politiquement et dans une période aussi difficile est une réalisation importante". Mais il doit encore "réussir la transition".

Les violences début mars contre la communauté alaouite, qui ont fait plus de 1.700 morts, puis contre les druzes en avril, ont ébranlé la confiance dans la capacité des autorités à protéger les minorités.

"Le traitement réservé aux minorités est l'un des défis internes les plus importants, et bâtir la confiance entre les différentes composantes nécessite un effort politique plus grand (...)", explique le chercheur.

La volonté de M. Chareh d'étendre son autorité sur le territoire national se heurte à l'exigence par les Kurdes d'un Etat décentralisé, ce que Damas rejette.

Les autorités "doivent s'éloigner des solutions sécuritaires et militaires (...) et impliquer les composantes syriennes dans le processus politique", affirme à l'AFP Badran Ciya Kurd, un responsable de l'administration autonome.

Le 20 mai, le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio avait averti que la Syrie pourrait être au bord d'une nouvelle "guerre civile à grande échelle" qui provoquerait "l'éclatement du pays".

"Le plus grand défi de Chareh est de tracer une voie vers l'avenir dans laquelle tous les Syriens voudront s'engager, et de le faire assez vite, mais sans agir de manière irréfléchie", estime Neil Quilliam, expert de Chatham House.

Les autorités sont appelées à promulguer une Constitution garantissant les droits des minorités, sur la base de laquelle se tiendraient des élections.

Or la déclaration constitutionnelle proclamée par Damas en mars ne prévoit pas d'élections et concentre les pouvoirs aux mains de Chareh pour cinq ans.

- Sécurité -

M. Chareh a dissous les anciens services de sécurité et l'armée et instauré une stabilité relative. Mais des ONG et des témoins rapportant enlèvements, arrestations et assassinats fréquents.

Les violences confessionnelles, notamment contre les alaouites, ont mis en question la capacité d'Ahmad al-Chareh à contrôler les différentes factions, y compris des groupes jihadistes radicaux qui inquiètent la communauté internationale.

La promotion de six jihadistes étrangers au ministère de la Défense a suscité de vives critiques. Une source syrienne a confié à l'AFP que les autorités avaient assuré à Washington qu'elles allaient "geler ces promotions".

Mais le dossier des combattants étrangers reste délicat: M. Chareh ne peut pas les abandonner alors qu'ils ont combattu à ses côtés pendant des années, et leurs pays respectifs refusent leur retour.

S'ajoute le problème des milliers de jihadistes du groupe Etat islamique, détenus avec leurs familles par les forces kurdes, que l'autorité actuelle n'a pas les moyens de transférer sous son contrôle.

- Economie et diplomatie -

Le nouveau dirigeant a hérité d'un pays épuisé par près de 14 ans de guerre civile, à l'économie exsangue, aux infrastructures détruites, où la majorité des citoyens vivent sous le seuil de pauvreté, selon l'ONU.

Sa priorité, après la levée des sanctions, notamment américaines, est de combattre la pauvreté, affirme une source proche de M. Chareh.

Les produits importés sont désormais en vente libre et les devises échangées au grand jour.

Parmi les autres obstacles à la relance de l'économie figurent "les lois nécessaires pour l'investissement, qui restent floues", souligne l'expert économique Karam Chaar.

La réhabilitation des infrastructures est aussi essentielle au retour des millions de réfugiés, une demande des voisins de la Syrie qui les abritent --Turquie, Jordanie ou Liban-- et des Européens.

Et le soutien à la Syrie ne passe pas sans des exigences: Washington a notamment appelé la Syrie à rejoindre les accords de normalisation avec Israël, qui a mené des centaines de frappes aériennes contre son voisin depuis la chute d'Assad.

Si Damas a reconnu des négociations indirectes avec Israël, l'ennemi de toujours, Neil Quilliam estime que "le nouveau gouvernement est à des années-lumière de considérer une normalisation, même s'il subit une pression significative des Etats-Unis ou de la communauté internationale".


L'Arabie saoudite définit des stratégies de sécurité pour le Hadj

Le ministère de l'Intérieur de l'Arabie saoudite a présenté des stratégies globales de sécurité et d'organisation pour la saison du Hadj 2025 lors d'une conférence de presse dimanche. (SPA)
Le ministère de l'Intérieur de l'Arabie saoudite a présenté des stratégies globales de sécurité et d'organisation pour la saison du Hadj 2025 lors d'une conférence de presse dimanche. (SPA)
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  • Les autorités saisissent 252 fausses campagnes du Hadj et arrêtent 1 239 transporteurs enfreignant les règlements du Hadj.
  • Près de 110 000 véhicules non autorisés ont été refoulés, de même que 269 678 personnes ne résidant pas à La Mecque, 75 943 personnes sans permis de Hadj et 11 610 personnes en infraction avec divers règlements.

RIYAD : Le ministère de l'Intérieur de l'Arabie saoudite a présenté une stratégie globale de sécurité et d'organisation pour garantir une saison du Hadj 2025 sans incident.

Le ministère a tenu une conférence de presse avec les commandants des forces de sécurité du Hadj dimanche au Centre d'opérations de sécurité unifié. Parmi les participants à la conférence figuraient des responsables de premier plan tels que le lieutenant-général Mohammed Al-Bassami, directeur de la sécurité publique, le général de division Mohammed Al-Omari, commandant des forces spéciales d'urgence à la présidence de la sécurité de l'État, le général de division Hamoud Al-Faraj, directeur général de la défense civile, et le général de division Saleh Al-Marba, directeur général par intérim de la direction générale des passeports.

M. Al-Bassami a affirmé l'engagement de l'Arabie saoudite à préparer un environnement sûr, sécurisé et organisé pour les pèlerins.

Il a ajouté que ces efforts étaient conformes aux directives du ministre de l'intérieur et président du Comité suprême du Hadj, le prince Abdulaziz bin Saud bin Naif, qui a approuvé de vastes plans de sécurité et d'organisation pour la saison du Hadj 2025.

Ces plans, a-t-il dit, englobent tous les aspects de la sécurité, de l'ordre public, de la gestion des foules, de la circulation et des interventions d'urgence, mis en œuvre dans un cadre intégré qui couvre l'ensemble du voyage des pèlerins, de l'arrivée au départ.

M. Al-Bassami a déclaré que toute tentative de perturber la sécurité ou d'enfreindre les règlements ferait l'objet d'une action stricte et intransigeante.

Il a en outre souligné que la Grande Mosquée et les lieux saints étaient prêts à gérer les grandes foules, afin de réduire les encombrements et de maintenir des capacités sûres sur toutes les routes et dans tous les lieux saints.

Des plans saisonniers de gestion du trafic sont également en vigueur pour les routes menant à La Mecque et à Médine, ainsi que pour les entrées de la zone centrale, afin d'assurer la bonne circulation des pèlerins.

La direction générale de la sécurité publique a fait état d'importantes mesures d'application de la loi.

Les autorités ont saisi 252 fausses campagnes du Hadj et appréhendé 1 239 transporteurs enfreignant les règlements du Hadj.

En outre, 109 632 véhicules non autorisés ont été refoulés, de même que 269 678 personnes ne résidant pas à La Mecque, 75 943 personnes sans permis de Hadj et 11 610 personnes qui ne respectaient pas les règles en matière de résidence, de travail et de sécurité aux frontières.

En outre, le nombre de détenteurs de visas de visite arrivés pour le Hadj s'est élevé à 205 713.

Al-Omari a réitéré l'engagement des forces à assurer la protection et le maintien de l'ordre pendant la saison du Hadj.

Il a détaillé la mise en œuvre de plans précis sur le terrain, en se concentrant sur la prévention de l'accès des infiltrés et des personnes non autorisées aux lieux saints.

Ces plans comprennent la gestion et l'organisation des mouvements de foule au site de lapidation de Jamarat et dans la cour sud de la Grande Mosquée, afin d'assurer la fluidité des déplacements et la sécurité des pèlerins.

Al-Faraj a également annoncé la première utilisation du drone Falcon pour la lutte contre les incendies et les opérations de sauvetage, une nouveauté dans les opérations de la Direction générale de la défense civile pour le Hadj cette année.

Il a souligné que le secteur était prêt à mettre en œuvre son plan approuvé au service des pèlerins.

M. Al-Marba a présenté le plan intégré de la direction dans le cadre de sécurité du ministère de l'intérieur.

Ce plan repose sur quatre piliers : assurer une préparation totale à l'accueil des pèlerins dans les ports aériens, terrestres et maritimes, y compris dans le cadre de l'initiative de la route de La Mecque ; faire appliquer les règlements contre les transporteurs illégaux de pèlerins par le biais de comités administratifs saisonniers aux entrées de La Mecque, apporter un soutien aux agences de sécurité et de services dans les lieux saints par une présence sur le terrain; et organiser et superviser le départ des pèlerins après le Hadj. 

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com


Les entreprises de restauration utilisent des solutions de pointe pour servir 12 millions de repas au Hadj

Les entreprises de restauration utilisent des solutions de pointe pour servir 12 millions de repas au Hadj
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  • 380 entreprises travaillent de concert pour nourrir des millions de pèlerins pendant le pèlerinage.
  • Les traiteurs s'efforcent de maintenir la sécurité alimentaire, la qualité nutritionnelle et l'efficacité opérationnelle sous pression.

MAKKAH : Alors que l'Arabie saoudite se prépare à une nouvelle saison du Hadj, un réseau complexe de préparatifs se met en place à La Mecque, dans lequel les services de restauration constituent un pilier essentiel de l'opération.

L'approche globale du Royaume pour servir les pèlerins de l'Islam combine une planification stratégique précoce, une coordination inter-agences sans faille et l'innovation technologique pour s'assurer que des millions de personnes puissent accomplir leurs devoirs sacrés en toute sécurité et dans le confort.

Les autorités ont dévoilé l'ampleur de l'opération de restauration de cette année : 380 sociétés de restauration travaillant de concert pour fournir jusqu'à 12 millions de repas pendant le pèlerinage.

Il s'agit de maintenir la sécurité alimentaire, la qualité nutritionnelle et l'efficacité opérationnelle dans des circonstances extraordinaires, parallèlement à la transition intelligente vers la cuisson électrique dans les cuisines des lieux saints, ce qui contribuera à améliorer la qualité des aliments, à renforcer la sécurité et à réduire les risques environnementaux dans l'un des plus grands rituels du monde islamique.

Mohammed Al-Sharif, qui dirige l'association responsable de la restauration dans les lieux saints de La Mecque, a souligné l'engagement du gouvernement en faveur du bien-être des pèlerins.

"Les dirigeants n'ont pas lésiné sur les moyens pour servir les invités des pèlerins", a-t-il déclaré, soulignant la surveillance directe exercée par les autorités municipales de La Mecque.

Le processus de préparation a été méthodique et intensif. Six réunions de planification ont permis d'aborder les obstacles potentiels et d'élever les normes de service.

Il a expliqué que ces réunions avaient pour but d'évaluer les préparatifs, d'aborder les obstacles et de relever les défis de manière à contribuer à l'amélioration de la qualité des services fournis.

M. Al-Sharif a souligné le partenariat productif avec le ministère de la santé dans la mise en place de systèmes complets de contrôle de la sécurité alimentaire. Cette collaboration a donné lieu à des programmes de formation approfondis pour les superviseurs du contrôle de la qualité dans toutes les entreprises de restauration.

Ces préparations impliquent des exercices de simulation par les entreprises de restauration, effectués en présence du personnel de sécurité et des responsables de la réglementation, en tant que tests de résistance pour l'ensemble du système de restauration.

Ces essais virtuels sont conçus pour identifier et résoudre toute faiblesse opérationnelle potentielle avant le début officiel du pèlerinage.

Il a également noté que la municipalité de La Mecque, en coopération avec le ministère du commerce, a vérifié les stocks de nourriture et confirmé qu'ils étaient prêts.

Il a conclu sa déclaration en soulignant que toutes les agences travaillent à plein régime pour fournir les meilleurs services aux pèlerins.

Ibrahim Al-Saini, propriétaire de sociétés de restauration, a confirmé que les préparatifs se déroulaient à un rythme soutenu, soulignant les efforts de toutes les autorités compétentes pour fournir les meilleurs services aux pèlerins et pour travailler jour et nuit à leur confort et à l'attention portée à leur nourriture.

"Les conditions pendant le Hadj diffèrent fondamentalement du reste de l'année", a-t-il déclaré, soulignant les exigences opérationnelles distinctes entre les différentes phases du pèlerinage - du jour d'Arafat et de Muzdalifah à la période prolongée à Mina.

Il a souligné que le Royaume, sous la direction du roi Salman et du prince héritier Mohammed bin Salman, continue de développer le système du Hajj année après année, que ce soit en distribuant des emplacements aux entreprises de Hajj de manière étudiée, ou en améliorant les mécanismes de gestion des foules et en organisant la circulation, ce qui se reflète sur la qualité du service et la sécurité des pèlerins.

M. Al-Saini a décrit le processus de fourniture de nourriture et de boissons comme un "défi majeur", mais les nouveaux systèmes qui permettent de préparer les aliments à l'avance dans des cuisines modèles à La Mecque et de les transporter ensuite vers les lieux saints pour les faire cuire et les servir ont directement contribué à améliorer la qualité des repas et l'efficacité de la distribution.

M. Al-Saini a mis l'accent sur les évolutions observées dans les cuisines des lieux saints, où le gaz kérosène a été remplacé par la cuisson électrique, ce qui a permis d'améliorer les niveaux de sécurité et la vitesse de cuisson, et de réduire les risques pour l'environnement et la santé.

Il a salué les efforts déployés au niveau national pour servir les pèlerins, confirmant que les succès répétés obtenus chaque année sont le fruit d'une planification préalable, d'une intégration entre les différentes agences et d'un engagement continu en faveur de l'innovation afin de fournir les meilleurs services aux pèlerins. 

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com