Il fut un temps où il était facile d’attribuer à la Tunisie une valeur, ou encore des actifs évalués. Sa popularité grandissante après l’indépendance et pendant de longues années provenait tout particulièrement de la politique d’enseignement qu’elle a menée en dépit de toutes les contraintes pour donner à ses enfants l’arme de l’instruction. Avec notamment pour objectif de leur garantir l’acquisition des instruments fondamentaux du savoir, des connaissances de base, des éléments de culture générale, mais surtout d’élever leur niveau de formation.
Aujourd’hui, les choses ont pris une tournure complètement différente. On n’a plus réellement le même potentiel qui fait de notre pays un modèle, une référence. L’implication de responsables, les moins indiqués, dans la plupart de ce qui est entrepris est souvent synonyme de déception et surtout d’impuissance.
Comment et pourquoi le décrochage scolaire s’est-il imposé dans le champ des politiques éducatives tunisiennes ? Pourquoi n’avait-il pas constitué un problème durant les années qui ont suivi l’indépendance ? En quoi est-il aujourd’hui un problème ?
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