Bien que le récit tragique qui a commencé avec l'attaque du Hamas sur Israël le 7 octobre ne soit pas encore terminé, les bien-pensants et les adeptes de la vertu s'empressent d'écrire leur post-scriptum.
Les dirigeants britanniques et de l'Union européenne affirment que le moment est venu d'accepter officiellement la création d'un État palestinien.
Le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, et le tsar de la politique étrangère de l'UE, Josep Borrel, suggèrent même que le Conseil de sécurité adopte une résolution pour rendre cela obligatoire, s'ajoutant aux 230 résolutions déjà adoptées sur la question.
Pendant ce temps, le major-général Ismail Qaani, chef du Corps Quds de la République islamique à Téhéran, promet de "reconstruire Gaza plus fort qu'avant en tant que poste avancé contre le sionisme mondial".
L'administration Biden à Washington fait des bruits favorables à la "solution" des deux États tout en envisageant un changement de régime, même si c'est en Israël.
Certains experts affirment que la guerre de Gaza dure déjà depuis trop longtemps et qu'il convient d'y mettre fin rapidement avant qu'elle ne produise un vainqueur et un perdant définitifs.
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