Les économies des pays arabes peuvent-elles supporter une extension du conflit?

Les civils palestiniens de Gaza ont vu leurs maisons dévastées depuis le début du conflit entre Israël et le Hamas, le 7 octobre (Photo, AFP).
Les civils palestiniens de Gaza ont vu leurs maisons dévastées depuis le début du conflit entre Israël et le Hamas, le 7 octobre (Photo, AFP).
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Publié le Mardi 24 octobre 2023

Les économies des pays arabes peuvent-elles supporter une extension du conflit?

  • L'essentiel de l'impact devrait être ressenti par des économies déjà en crise, notamment la Syrie, le Liban et l'Irak
  • La distance géographique par rapport à la zone de guerre à Gaza offre potentiellement une marge de manœuvre à certains pays arabes

LONDRES: Les médias occidentaux ont beau mettre en garde contre les «conséquences dramatiques» pour l'économie mondiale d'un débordement du conflit à Gaza dans les pays voisins, les spécialistes du Moyen-Orient estiment que le poids économique de la propagation du conflit sera porté par les pays de la région touchés par la crise.

Un certain nombre de développements sont perçus comme un présage des événements à venir. Au Liban, le Hezbollah et les factions palestiniennes alliées échangent quotidiennement des tirs transfrontaliers avec Israël. Un navire de la marine américaine a intercepté des missiles lancés par la milice houthie au Yémen. Deux bases américaines en Syrie ont essuyé des tirs. En Irak, des drones et des roquettes ont tiré sur les forces américaines.

Plusieurs pays, dont l'Arabie saoudite, le Koweït, les États-Unis, le Royaume-Uni, l'Allemagne, la France et le Canada, ont incité leurs ressortissants à éviter de se rendre au Liban ou à quitter le pays tant que des vols sont encore disponibles.

Ali Metwally, expert basé à Londres, estime que les économies de l'Irak, du Liban et de la Syrie sont les plus menacées, prévoyant une probabilité de 60% de «conflit prolongé» et une «implication croissante» des acteurs régionaux, y compris des milices soutenues par l'Iran.

«Si le Hezbollah entrait en conflit avec Israël, le Liban subirait probablement des conséquences économiques importantes en raison de son association étroite avec le groupe et de la possibilité d'un engagement militaire direct», a-t-il déclaré à Arab News.

Une fillette palestinienne transporte une couverture tandis qu'elle passe devant le site d'une explosion meurtrière à l'hôpital Al-Ahli, dans la ville de Gaza (Photo, AFP).

Les secteurs du tourisme et de l'hôtellerie du Liban, qui contribuent largement à son économie axée sur les services, seraient les plus touchés, tandis que ses chaînes d'approvisionnement seraient perturbées par «tout dommage ou fermeture du port de Beyrouth», ce qui entraînerait des «pénuries de biens essentiels» et «alimenterait l'hyperinflation actuelle».

Compte tenu de l'effondrement financier de 2019 et de la paralysie qui en a résulté pour les banques libanaises, M. Metwally estime que tout nouveau choc ne servirait qu'à effrayer les déposants et les investisseurs restants.

De même, la Syrie, qui a été un terrain d'affrontement par procuration depuis le début de la guerre civile en 2011, a enduré des coûts d'intrants et des taux d'inflation élevés, des pénuries de carburant et de médicaments, un effondrement de la monnaie, des infrastructures dévastées et une pénurie d'eau durant pratiquement une décennie.

Selon les Nations unies, plus de 90% de la population vit sous le seuil de pauvreté et 15 millions de Syriens ont besoin d'une aide humanitaire. Les sanctions actuelles de l'Union européenne et des États-Unis n'ont fait qu'aggraver la situation, notamment en limitant la capacité des gouvernements qui ont rétabli des liens diplomatiques avec la Syrie à investir dans la reconstruction du pays.

Selon M. Metwally, si un conflit plus large venait à s'ajouter à ce mélange, les flux d'aide pourraient être interrompus en raison de la «possibilité que la communauté internationale réoriente les efforts d'aide à la reconstruction et à la stabilisation de la Syrie vers la résolution du nouveau conflit, laissant ainsi le pays avec moins de ressources pour la reconstruction d'après-guerre».

Depuis le Liban, le Hezbollah et leurs alliés parmi les factions palestiniennes échangent quotidiennement des tirs avec Israël (Photo, AFP).

Les préoccupations de M. Metwally sont partagées par Ammar Abdulhamid, un analyste politique basé aux États-Unis, qui a déclaré qu'une guerre plus étendue «signifie que les deux pays – la Syrie et le Liban – deviendront des champs de bataille, et que tous les dirigeants dans les deux pays seront décimés. Les deux États s'effondreront en tant que tels, et pas seulement leurs économies».

Notant qu'il est probable que diverses milices et groupes irakiens prennent parti dans toute crise qui s'ensuivrait, M. Metwally a souligné que le pays ne manque pas de conflits internes, où les «tensions sectaires» sont une source d'inquiétude permanente.

Étant donné que «l'Irak dépend fortement du secteur pétrolier pour générer des revenus et créer des emplois, l'aggravation des problèmes de sécurité pourrait entraîner des attaques contre les infrastructures pétrolières ou entraver l'acheminement du pétrole par des voies de transport essentielles, ce qui réduirait les recettes pétrolières de l'Irak et creuserait le déficit budgétaire du pays après une période d'excédent convenable».

Compte tenu de tout ce qu'il a traversé, l'Irak a trouvé un degré de stabilité sans précédent au cours des deux dernières décennies, et l'économie se redresse progressivement depuis 2021, selon un rapport de la Banque mondiale.

En chiffres

- 270,36 milliards de dollars: PIB de l'Irak (2022)

- 22,4 milliards de dollars: PIB de la Syrie (2019)

- 20,48 milliards de dollars: PIB du Liban (2021)

Source: Statista

En 2022, le pays a engrangé environ 115 milliards de dollars (1 dollar = 0,94 euro) de recettes pétrolières, grâce à la hausse des prix de l'énergie qui a suivi la guerre de la Russie contre l'Ukraine et les sanctions occidentales qui en ont découlé pour la Russie. Fort de cette manne pétrolière, le gouvernement irakien a alloué 153 milliards de dollars pour le budget 2023.

Alors que M. Abdulhamid pense que la distance géographique de l'Irak par rapport à la Palestine lui offre potentiellement «une certaine marge de manœuvre», M. Metwally craint que «tout détournement» des ressources financières pour traiter les questions de sécurité ne grève le budget du gouvernement, limitant ainsi les services publics essentiels.

Les économies de l’Irak, du Liban et de la Syrie sont particulièrement en danger, selon les experts (Photo, AFP).

M. Abdulhamid a reconnu l'existence d'un volant budgétaire, mais a déclaré que le Corps des gardiens de la révolution islamique, «agissant par l'intermédiaire de ses mandataires et de ses milices loyalistes, en siphonnera la majeure partie et tentera d'utiliser les richesses irakiennes comme trésor de guerre. Ainsi, si la guerre dure trop longtemps (plusieurs mois), les risques de conflits intercommunautaires et interrégionaux augmenteront à mesure que l'économie irakienne implosera. L'Iran suivra le mouvement».

Si cela se produisait, tous deux ont déclaré que même les économies régionales les plus robustes, y compris les pays du Golfe qui bénéficient actuellement d'une manne pétrolière, en subiraient les conséquences. Selon M. Metwally, bien que le risque soit actuellement faible, si les expéditions de pétrole dans le golfe Arabique et la mer Rouge étaient interrompues, les recettes pétrolières de ces pays pourraient en pâtir.

M. Abdulhamid a déclaré que le sort des autres pays de la région, en particulier les États du Golfe, dépendrait en grande partie de «la mesure dans laquelle les États-Unis sont prêts à les aider à sécuriser leurs frontières». Il explique: «Certaines parties, en particulier l'Iran et ses mandataires, mais aussi la Russie et la Chine, ont tout à gagner d'un conflit sanglant prolongé à Gaza, car elles peuvent marquer des points contre Israël, les États-Unis et l'Europe.»

Si les analystes sont tous d'accord sur la question de savoir qui sera le plus durement touché sur le plan économique, ils sont moins unanimes sur les perspectives d'extension du conflit. M. Abdulhamid est convaincu que les combats seront contenus, soulignant que «tout le monde a beaucoup à perdre, mais il y a une possibilité limitée que les parties s'embourbent.»

De même, l'analyste canadien d'origine syrienne Camille Alex Otrakji ne croit pas que la guerre soit inévitable malgré la montée de la rhétorique belliqueuse. «Il est fort probable qu'Israël, les États-Unis, l'Iran et le Hezbollah peaufinent et réévaluent constamment un large éventail de plans d'urgence, englobant à la fois des stratégies défensives et des stratégies offensives proactives», a-t-il affirmé.

Selon l’ONU, plus de 90% de la population syrienne vit sous le seuil de pauvreté et 15 millions d’entre eux nécessitent de l’aide humanitaire (Photo, AFP).
Selon l’ONU, plus de 90% de la population syrienne vit sous le seuil de pauvreté et 15 millions d’entre eux nécessitent de l’aide humanitaire (Photo, AFP).

«Toutefois, la mesure dans laquelle chaque partie est prête à une escalade reste une énigme pour les observateurs internationaux.»

«Les expressions de confiance et de détermination sont nombreuses sur tous les fronts, associées à des revendications de monopole incontestable sur la clarté morale. Pourtant, tous les acteurs ne cessent de lancer des avertissements à l'autre partie: “Si vous choisissez d'entrer dans ce conflit, soyez prêts à en supporter un coût incommensurable”, un sentiment qui découle souvent d'un désir commun d'éviter une nouvelle prolifération du conflit.

Néanmoins, M. Otrakji a présenté ce qu'il a décrit comme un échantillon des «scénarios inquiétants qui circulent jusqu'à présent», dans lesquels toute tentative d'Israël de s'emparer de Gaza aurait pour conséquence que le Hezbollah ciblerait les villes israéliennes avec des dizaines de milliers de missiles de haute précision, ce qui à son tour conduirait Israël et les États-Unis à viser la destruction de Damas, créant ainsi un vide de pouvoir en Syrie.

«Si les États-Unis entrent dans le conflit, les milices alliées de l'Iran, qui s'étendent de l'Irak au Yémen, pourraient lancer des attaques contre les bases américaines dans tout le Moyen-Orient», a-t-il ajouté. «Chaque fois que le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou, ou l'un des principaux penseurs stratégiques de Washington annonce l'avènement d'un “nouveau Moyen-Orient”, l'ancien Moyen-Orient refait surface et rappelle avec force sa complexité persistante.»

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com 


La culture et l'histoire du Royaume sont célébrées dans le cadre de l'événement « Mémoire de la terre »

Le ministère de la Culture d'Arabie saoudite a organisé un événement intitulé « Mémoire de la terre », qui se déroule jusqu'à dimanche dans plusieurs régions du Royaume pour commémorer la Journée de la fondation. (SPA)
Le ministère de la Culture d'Arabie saoudite a organisé un événement intitulé « Mémoire de la terre », qui se déroule jusqu'à dimanche dans plusieurs régions du Royaume pour commémorer la Journée de la fondation. (SPA)
Le ministère de la Culture d'Arabie saoudite a organisé un événement intitulé « Mémoire de la terre », qui se déroule jusqu'à dimanche dans plusieurs régions du Royaume pour commémorer la Journée de la fondation. (SPA)
Le ministère de la Culture d'Arabie saoudite a organisé un événement intitulé « Mémoire de la terre », qui se déroule jusqu'à dimanche dans plusieurs régions du Royaume pour commémorer la Journée de la fondation. (SPA)
Le ministère de la Culture d'Arabie saoudite a organisé un événement intitulé « Mémoire de la terre », qui se déroule jusqu'à dimanche dans plusieurs régions du Royaume pour commémorer la Journée de la fondation. (SPA)
Le ministère de la Culture d'Arabie saoudite a organisé un événement intitulé « Mémoire de la terre », qui se déroule jusqu'à dimanche dans plusieurs régions du Royaume pour commémorer la Journée de la fondation. (SPA)
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  • L'événement fait revivre le patrimoine à travers des expositions, de la musique, de l'artisanat et des expériences interactives.
  • Organisé près du parc du roi Abdulaziz, il propose une série d'activités inspirées par le patrimoine naturel et culturel de l'Arabie saoudite.

RIYAD : Le ministère de la Culture d'Arabie saoudite a organisé une manifestation intitulée « Mémoire de la terre », qui se déroule jusqu'à dimanche dans plusieurs régions du Royaume pour commémorer la Journée de la fondation.

L'événement propose un voyage immersif à travers la riche histoire et le patrimoine culturel du pays, avec des expositions interactives, des spectacles musicaux et des démonstrations d'artisanat qui, selon un rapport de l'agence de presse saoudienne, « donnent vie aux récits historiques ».

À Qassim, une zone est réservée aux enfants et propose des expériences attrayantes pour découvrir l'histoire du Royaume, tandis qu'un espace familial comprend des « activités de divertissement telles que des puzzles et des jeux passionnants », selon la SPA.

L'événement comprend également des spectacles musicaux, des expositions d'arts du spectacle, un espace de restauration pour tous les publics et une section d'artisans soutenant l'initiative de l'Année de l'artisanat.

L'événement a pour but de mettre en valeur le patrimoine culturel du Royaume, de raviver les célébrations de sa fondation et de renforcer la prise de conscience nationale de son histoire.

Dans la région du nord du pays, des expositions comprenant des stations interactives détaillent les étapes importantes qui ont façonné l'État saoudien. 

L'événement vise à sensibiliser la population nationale en recréant des événements, des personnages et des costumes historiques, tout en mettant en valeur le patrimoine culturel grâce à un mélange de styles traditionnels et modernes, a déclaré la SPA.

La zone des artisans a présenté les compétences de ces derniers, offrant aux visiteurs un aperçu du riche patrimoine artisanal du Royaume. Une zone pour les enfants proposait des leçons d'histoire interactives, et il y avait également une zone familiale avec des puzzles et des jeux.

À Najran, l'événement a attiré un nombre « remarquable » de citoyens et de résidents qui ont pu « explorer la création de l'État saoudien à travers des éléments clés de l'histoire, de la culture et du patrimoine, ainsi que des personnages notables et des vêtements traditionnels », a rapporté l'agence SPA.

Organisé près du parc du roi Abdulaziz, l'événement proposait une série d'activités inspirées par le patrimoine naturel et culturel de l'Arabie saoudite. L'espace réservé aux artisans a été l'un des points forts de l'événement, avec la présentation d'objets traditionnels tels que les brûleurs d'encens et le tissage Sadu, ainsi que l'Al-Khous, une méthode de tissage traditionnelle utilisant des feuilles de palmier, qui constitue une part importante du patrimoine culturel et social de Najran. 

« Le processus consiste à les couper, les laver, les sécher et les empaqueter, puis à les tremper dans l'eau pour les ramollir. Elles sont ensuite cousues ensemble, façonnées en tissu et soigneusement découpées pour éliminer les épines. Une fois préparées, les frondes sont colorées et transformées en produits finis », explique la SPA.

À Jazan, les habitants ont exprimé leur fierté nationale en portant des vêtements traditionnels et en arborant des drapeaux et des symboles saoudiens. Accompagnés de leurs parents, les enfants ont pu explorer l'événement et découvrir l'histoire de l'Arabie saoudite, qui s'étend sur plus de trois siècles.

L'événement comprenait également une série d'activités s'inspirant des éléments naturels et culturels de l'Arabie saoudite et apportant une touche de modernité. 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Le président du Conseil de la Choura dirige la délégation saoudienne à la conférence du Parlement arabe

Le président du Conseil de la Shoura, Cheikh Abdullah bin Mohammed bin Ibrahim Al-Sheikh, a conduit la délégation saoudienne à la septième conférence du Parlement arabe et des présidents des conseils et parlements arabes, qui s'est tenue  samedi au siège de la Ligue des États arabes au Caire. (SPA
Le président du Conseil de la Shoura, Cheikh Abdullah bin Mohammed bin Ibrahim Al-Sheikh, a conduit la délégation saoudienne à la septième conférence du Parlement arabe et des présidents des conseils et parlements arabes, qui s'est tenue samedi au siège de la Ligue des États arabes au Caire. (SPA
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  • La conférence a porté sur le renforcement de l'unité parlementaire arabe, avec un point clé de l'ordre du jour consacré au soutien du peuple palestinien.
  • Les participants ont travaillé à la formulation d'une position parlementaire arabe unifiée pour défendre les droits des Palestiniens.

Le Caire : Cheikh Abdullah bin Mohammed bin Ibrahim Al-Sheikh, président du Conseil de la Choura, a conduit la délégation saoudienne à la 7e Conférence du Parlement arabe et des présidents des conseils et parlements arabes.

La conférence, qui s'est tenue samedi au siège de la Ligue des États arabes au Caire, portait sur le renforcement de l'unité parlementaire arabe.

Un point de l'ordre du jour était consacré au soutien du peuple palestinien et au rejet de toute proposition de déplacement forcé. Dans le cadre des discussions, les participants ont travaillé à la formulation d'une position parlementaire arabe unifiée pour défendre les droits des Palestiniens. Le résultat a été la publication d'un plan d'action parlementaire arabe unifié décrivant les mesures concrètes que les parlementaires arabes pourraient prendre.

Avant son approbation officielle, les présidents des conseils et parlements arabes ont tenu une session consultative à huis clos pour finaliser les principaux aspects du plan, qui sera soumis au sommet arabe pour adoption.

La délégation du Royaume à la conférence comprenait le secrétaire général du Conseil de la Choura, Mohammed bin Dakhil Al-Mutairi, ainsi que les membres du Conseil Saad bin Salib Al-Otaibi, Tariq bin Saeed Al-Shammari, Hanan bint Abdullah Al-Sammari, Abdullah bin Abdulaziz bin Aifan et Amal bint Abdulaziz Al-Hazani.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


L'ambassade saoudienne en Syrie célèbre le jour de la fondation du Royaume

Le vice-ministre des affaires étrangères, Yasser Al-Jundi, des membres du corps diplomatique accrédité en Syrie et un groupe d'hommes d'affaires et d'intellectuels ont assisté à la célébration. (Photo Fournie)
Le vice-ministre des affaires étrangères, Yasser Al-Jundi, des membres du corps diplomatique accrédité en Syrie et un groupe d'hommes d'affaires et d'intellectuels ont assisté à la célébration. (Photo Fournie)
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  • Le vice-ministre syrien des Affaires étrangères, Yasser Al-Jundi, ainsi que des membres du corps diplomatique accrédité en Syrie et un groupe d'hommes d'affaires et d'intellectuels ont assisté à la célébration.
  • Le ministre saoudien des Communications et des Technologies de l'information, Abdullah Al-Swaha, a rencontré des cadres supérieurs de grandes entreprises mondiales lors de la Future Investment Initiative à Miami.

DAMAS : L'ambassade d'Arabie saoudite en République arabe syrienne a organisé une réception à l'occasion de la Journée de la fondation du Royaume à son siège dans la capitale syrienne, Damas.

Le vice-ministre syrien des Affaires étrangères, Yasser Al-Jundi, ainsi que des membres du corps diplomatique accrédité en Syrie et un groupe d'hommes d'affaires et d'intellectuels ont assisté à la célébration, a rapporté samedi l'agence de presse saoudienne.

Parallèlement, le ministre saoudien des Communications et des Technologies de l'information, Abdullah Al-Swaha, a tenu des réunions de haut niveau avec des cadres supérieurs de grandes entreprises mondiales lors de la Future Investment Initiative à Miami, afin de renforcer les partenariats dans les domaines de la technologie, de l'intelligence artificielle, de l'investissement et du secteur spatial.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com