L’option d’une ouverture du capital via le marché boursier concernera uniquement les entreprises en difficulté, nécessitant des recapitalisations cycliques, selon le ministre de l’Industrie.
Le ministre de l’Industrie, Ferhat Aït Ali, a confirmé, avant-hier, la volonté de l’État de privatiser certaines de ces entreprises. Il s’agit, plus précisément, d’une ouverture du capital à travers la Bourse d’Alger, mais qui concernera uniquement les entreprises publiques nécessitant une recapitalisation cyclique.
L’annonce, il y a une semaine, de la fermeture des ateliers de l’Eniem (Entreprise nationale des industries de l’électroménager) pour cause de difficultés de trésorerie a fait ressurgir les vieux démons des années 1990 lorsque les entreprises publiques déposaient des bilans et envoyaient au chômage des milliers de travailleurs.
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