Yacine Boularès, saxophoniste et musicien de jazz, s’est emparé de la scène des JMC, lors de sa 8e édition. Programmé en guise de clôture avec d’autres groupes, l’artiste-musicien s’est entouré d’artistes, comme le rappeur Mehdi WMD, Hedi Fahem, Nesrine Jabeur, Omar el Ouaer, Youssef Soltana et Nasreddine Chabli. Ensemble, ils forment «Osool», groupe musical distingué, qui se fraye un chemin, à l’international et qui chante l’identité en ayant un répertoire varié.
Vous participez aux JMC de 2023 en tant qu’intervenant dans des masterclass, mais aussi en tant qu’artiste-musicien programmé sur scène avec votre groupe «Osool». Pouvez-vous nous en dire plus ?
Le groupe s’appelle «Osool». C’est un groupe que j’ai monté il y a 2 ans, pendant la pandémie. À l’époque, il s’appelait «Night In Tunisia». Il a évolué au fur et à mesure. J’ai eu l’opportunité de créer le festival Habibi à New York, premier festival dédié à la musique actuelle du monde arabe. Je l’ai cofondé avec le Joe’s Pub – Public Theatre. Il remplit une fonction importante puisqu’il y a un vide culturel immense spécialement en ce qui concerne la musique actuelle du monde arabe et particulièrement celle du Maghreb aux USA.
NDLR: Mosaïque est une revue de presse qui offre au lecteur un aperçu sélectif et rapide des sujets phares abordés par des quotidiens et médias de renommée dans le monde arabe. Arab news en français se contente d’une publication très sommaire, renvoyant le lecteur directement vers le lien de l’article original. L’opinion exprimée dans cette page est propre à l’auteur et ne reflète pas nécessairement celle d’Arab News en français.