Depuis la rentrée sociale, des tentatives de reprise ont été enregistrées ça et là, mais sans arriver à mobiliser les grandes foules qu’il a connues durant un peu plus d’une année, comme ce fut le cas le 5 octobre dernier, lorsque des manifestants ont essayé de battre le pavé dans la capitale.
Le hirak aujourd’hui est à la croisée des chemins. Beaucoup parmi les militants et activistes se posent des questions quant à l’avenir du mouvement populaire né un 22 février 2019 et qui, pour cause de coronavirus, a dû suspendre ses manifestations des vendredis et mardis, d’autant que le pays est à quelques jours d’une autre étape de la feuille de route du pouvoir en place, qui est le référendum sur la nouvelle Constitution.
Depuis la rentrée sociale, des tentatives de reprise ont été enregistrées ça et là, mais sans arriver à mobiliser les grandes foules qu’il a connues durant un peu plus d’une année, comme ce fut le cas le 5 octobre dernier, lorsque des manifestants ont essayé de battre le pavé dans la capitale.
Le hirak pourra-t-il retrouver la mobilisation qu’il avait connue, sachant que, par exemple, la crise sanitaire est partie pour durer encore quelque temps, tandis que des militants et des activistes se font toujours arrêter pour divers motifs, mais principalement pour des publications sur les réseaux sociaux ?
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