Le roi Salmane et le prince héritier reçoivent le président turc à Djeddah

Le roi Salmane accueille le président turc Recep Tayyip Erdogan (Photo, @spagov).
Le roi Salmane accueille le président turc Recep Tayyip Erdogan (Photo, @spagov).
Le roi Salmane accueille le président turc Recep Tayyip Erdogan (Photo, @spagov).
Le roi Salmane accueille le président turc Recep Tayyip Erdogan (Photo, @spagov).
Le roi Salmane accueille le président turc Recep Tayyip Erdogan (Photo, @spagov).
Le roi Salmane accueille le président turc Recep Tayyip Erdogan (Photo, @spagov).
Le roi Salmane accueille le président turc Recep Tayyip Erdogan (Photo, @spagov).
Le roi Salmane accueille le président turc Recep Tayyip Erdogan (Photo, @spagov).
Le roi Salmane discute avec le président turc Recep Tayyip Erdogan (Photo, @spagov).
Le roi Salmane discute avec le président turc Recep Tayyip Erdogan (Photo, @spagov).
Le roi Salmane (Photo, @spagov).
Le roi Salmane (Photo, @spagov).
Le roi Salmane discute avec le président turc Recep Tayyip Erdogan (Photo, @spagov).
Le roi Salmane discute avec le président turc Recep Tayyip Erdogan (Photo, @spagov).
Le prince héritier Mohammed ben Salmane (Photo, @spagov).
Le prince héritier Mohammed ben Salmane (Photo, @spagov).
Le prince héritier Mohammed ben Salmane discute avec un haut responsable turc (Photo, @spagov).
Le prince héritier Mohammed ben Salmane discute avec un haut responsable turc (Photo, @spagov).
Le prince héritier Mohammed ben Salmane discute avec un haut responsable turc (Photo, @spagov).
Le prince héritier Mohammed ben Salmane discute avec un haut responsable turc (Photo, @spagov).
Le président turc Recep Tayyip Erdogan (Photo, @spagov).
Le président turc Recep Tayyip Erdogan (Photo, @spagov).
La délégation mixte turco-saoudienne (Photo, @spagov).
La délégation mixte turco-saoudienne (Photo, @spagov).
Le président turc Recep Tayyip Erdogan arrive à l'aéroport international du roi Abdelaziz à Djeddah (Photo, SPA).
Le président turc Recep Tayyip Erdogan arrive à l'aéroport international du roi Abdelaziz à Djeddah (Photo, SPA).
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Publié le Vendredi 29 avril 2022

Le roi Salmane et le prince héritier reçoivent le président turc à Djeddah

  • «Ma visite reflète notre volonté commune d'entamer une nouvelle ère de coopération entre les deux pays frères», a déclaré Erdogan
  • «La complémentarité de nos économies est le principal facteur qui attire les investisseurs saoudiens vers l'environnement dynamique de la Turquie», a souligné Erdogan

RIYAD: Le roi Salmane et le prince héritier Mohammed ben Salmane ont accueilli le président turc Recep Tayyip Erdogan à Djeddah, a rapporté tôt vendredi l'Agence de presse saoudienne.
Le roi a souhaité la bienvenue à Erdogan et à sa délégation, et le président turc a exprimé sa joie de visiter le Royaume et de rencontrer le roi et le prince héritier.
Une réception officielle et un dîner ont été organisés en l’honneur du président turc.
Des hauts responsables des deux pays ont assisté à la réception.
Le prince héritier et Erdogan ont passé en revue les relations turco-saoudiennes et les moyens de les développer dans tous les domaines. Les deux hommes ont également discuté des efforts déployés pour faire face aux derniers développements régionaux et internationaux.
Plus tôt, le dirigeant turc est arrivé à Djeddah, pour sa première visite en Arabie saoudite depuis 2017, et a été reçu par le gouverneur de La Mecque, le prince Khaled Al-Faysal.
«Tous les aspects des relations entre la Turquie et l'Arabie saoudite seront passés en revue, et les mesures visant à renforcer la coopération entre les deux pays seront discutées lors des entretiens qui auront lieu dans le cadre de la visite. Outre les relations bilatérales, des points de vue sur les questions régionales et internationales seront échangés», a indiqué un communiqué du bureau du président turc.
En plus de l'Arabie saoudite, Erdogan s'efforce également de resserrer ses liens avec d'autres pays de la région, alors qu'il est confronté à des difficultés internes, dues à une économie touchée par une crise monétaire et une inflation galopante.
«Ma visite reflète notre volonté commune d'entamer une nouvelle ère de coopération entre les deux pays frères. Nous ferons des efforts pour commencer une nouvelle ère de relations renforcées entre nos deux pays à tous égards, notamment sur le plan politique, militaire, économique et culturel», a déclaré Erdogan.
Et d’ajouter : «L'Arabie saoudite occupe une place particulière pour la Turquie en termes de commerce et d'investissements, ainsi que de projets de grande envergure mis en œuvre par nos entrepreneurs.»
 «La valeur totale des projets que nos entrepreneurs ont remportés en Arabie saoudite atteint 24 milliards de dollars», a-t-il souligné.
«La complémentarité de nos économies est le principal facteur qui attire les investisseurs saoudiens vers l'environnement dynamique de la Turquie», a affirmé Erdogan.
Et de conclure : «Je vois et je crois qu'il est dans notre intérêt commun de stimuler notre coopération avec l'Arabie saoudite dans des domaines tels que les soins de santé, l'énergie, la sécurité alimentaire, les technologies agricoles, l'industrie de la défense et la finance. Il semble que nous ayons un potentiel important, surtout dans le domaine des énergies renouvelables et vertes. Nous espérons pouvoir discuter de ces questions et les évaluer de manière approfondie.»


Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Les États-Unis débloquent 117 millions de dollars pour les Forces libanaises

Drapeau américain agitant isolément sur fond blanc (Photo iStock)
Drapeau américain agitant isolément sur fond blanc (Photo iStock)
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  • Selon un communiqué du département d'État, ces fonds doivent aider les Forces armées libanaises (FAL) et les Forces de sécurité intérieure (FSI, chargées du maintien de l'ordre) à « garantir la souveraineté du Liban dans tout le pays ».
  • C'est ce dernier qui est à l'origine de la réunion des donateurs internationaux qui a eu lieu jeudi « avec partenaires et alliés pour évoquer le soutien crucial à la sécurité du Liban afin de pérenniser la cessation des hostilités avec Israël ».

WASHINGTON : Lles États-Unis ont annoncé  samedi le transfert de 117 millions de dollars destinés à soutenir les forces de l'ordre et l'armée libanaises, à l'issue d'une réunion de donateurs internationaux, jeudi.

Selon un communiqué du département d'État, ces fonds doivent aider les Forces armées libanaises (FAL) et les Forces de sécurité intérieure (FSI, chargées du maintien de l'ordre) à « garantir la souveraineté du Liban dans tout le pays ».

C'est ce dernier qui est à l'origine de la réunion des donateurs internationaux qui a eu lieu jeudi « avec partenaires et alliés pour évoquer le soutien crucial à la sécurité du Liban afin de pérenniser la cessation des hostilités avec Israël ».

Un cessez-le-feu a pris effet fin novembre entre le mouvement islamiste pro-iranien Hezbollah et Israël, après plus d'un an de bombardements de part et d'autre, ainsi qu'une incursion des forces israéliennes en territoire libanais à partir de fin septembre.

L'enveloppe annoncée samedi par le département d'État « démontre son engagement à continuer à travailler avec ses partenaires et alliés pour s'assurer que le Liban bénéficie du soutien nécessaire pour renforcer la sécurité du pays et de la région ».

Samedi, le président libanais, Joseph Aoun, a réclamé le retrait de l'armée israélienne « dans les délais fixés » par l'accord de cessez-le-feu.

Ce dernier prévoit le déploiement de l'armée libanaise aux côtés des Casques bleus dans le sud du pays et le retrait de l'armée israélienne dans un délai de 60 jours, soit d'ici au 26 janvier.

Le Hezbollah doit, pour sa part, retirer ses forces au nord du fleuve Litani, à environ 30 km de la frontière libano-israélienne. 


Manifestation pour revendiquer la libération de l'opposante Abir Moussi

Des partisans d'Abir Moussi, chef du Parti Destourien Libre (PDL), participent à une manifestation demandant sa libération, à Tunis le 18 janvier 2025. (Photo FETHI BELAID / AFP)
Des partisans d'Abir Moussi, chef du Parti Destourien Libre (PDL), participent à une manifestation demandant sa libération, à Tunis le 18 janvier 2025. (Photo FETHI BELAID / AFP)
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  • Plusieurs centaines de sympathisants du Parti destourien libre (PDL), qui revendique l'héritage des autocrates Bourguiba et Ben Ali, ont manifesté samedi en Tunisie pour réclamer la libération de leur dirigeante, l'opposante Abir Moussi.
  • Soupçonnée d'avoir voulu rétablir un pouvoir similaire à celui de Zine El Abidine Ben Ali, renversé en 2011 par la première révolte du Printemps arabe.

TUNIS : Plusieurs centaines de sympathisants du Parti destourien libre (PDL), qui revendique l'héritage des autocrates Bourguiba et Ben Ali, ont manifesté samedi en Tunisie pour réclamer la libération de leur dirigeante, l'opposante Abir Moussi.

Brandissant des pancartes sur lesquelles on pouvait lire « Liberté pour Abir » ou « Nous sommes des opposants, pas des traîtres ! », ils étaient entre 500 et 1 000, selon des journalistes de l'AFP. Beaucoup portaient des drapeaux tunisiens et des photos de la dirigeante du PDL.

Ils ont critiqué virulemment à la fois le président Kaïs Saied et le parti islamo-conservateur d'opposition Ennahdha. Mme Moussi, ex-députée de 49 ans, est en détention depuis son arrestation le 3 octobre 2023 devant le palais présidentiel, où, selon son parti, elle était venue déposer des recours contre des décrets de M. Saied.

Mme Moussi fait l'objet de plusieurs accusations, dont celle particulièrement grave de tentative « ayant pour but de changer la forme de l'État », soupçonnée d'avoir voulu rétablir un pouvoir similaire à celui de Zine El Abidine Ben Ali, renversé en 2011 par la première révolte du Printemps arabe.

Les manifestants ont dénoncé le décret 54 sur les « fausses nouvelles », en vertu duquel Mme Moussi est poursuivie dans cette affaire, et dont l'interprétation très large a entraîné l'incarcération depuis septembre 2022 de dizaines de politiciens, d'avocats, de militants ou de journalistes.

Pour Thameur Saad, dirigeant du PDL, emprisonner Mme Moussi pour des critiques envers l'Isie « n'est pas digne d'un pays se disant démocratique ». « Les prisons tunisiennes sont désormais remplies de victimes du décret 54 », a renchéri à l'AFP Karim Krifa, membre du comité de défense de Mme Moussi.

D'autres figures de l'opposition, dont le chef d'Ennahdha, Rached Ghannouchi, sont également emprisonnées.

Depuis le coup de force de M. Saied à l'été 2021, l'opposition et les ONG tunisiennes et étrangères ont déploré une régression des droits et des libertés en Tunisie. Le chef de l'État a été réélu à une écrasante majorité de plus de 90 % des voix le 6 octobre, lors d'un scrutin marqué toutefois par une participation très faible (moins de 30 %).


L'Égypte annonce que 50 camions-citernes de carburant entreront chaque jour dans la bande de Gaza

Le ministère palestinien de la Santé a déclaré qu'une frappe aérienne israélienne sur le camp de réfugiés de Jénine, en Cisjordanie occupée, a tué cinq personnes mardi, l'armée israélienne confirmant avoir mené une attaque dans la région. (Photo d'archives de l'AFP)
Le ministère palestinien de la Santé a déclaré qu'une frappe aérienne israélienne sur le camp de réfugiés de Jénine, en Cisjordanie occupée, a tué cinq personnes mardi, l'armée israélienne confirmant avoir mené une attaque dans la région. (Photo d'archives de l'AFP)
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  • Le ministre égyptien des Affaires étrangères, Badr Abdelatty, a annoncé samedi que 50 camions-citernes chargés de carburant devaient entrer dans la bande de Gaza à partir de dimanche, marquant le début du cessez-le-feu.
  • M. Abdelatty, dont le pays, le Qatar et les États-Unis ont servi de médiateur, a déclaré que l'accord prévoyait « l'entrée de 600 camions par jour dans la bande, dont 50 de carburant ».

LE CAIRE : Le ministre égyptien des Affaires étrangères, Badr Abdelatty, a annoncé samedi que 50 camions-citernes chargés de carburant devaient entrer dans la bande de Gaza à partir de dimanche, marquant le début du cessez-le-feu.

M. Abdelatty, dont le pays, le Qatar et les États-Unis ont servi de médiateur, a déclaré que l'accord prévoyait « l'entrée de 600 camions par jour dans la bande, dont 50 de carburant ».

La trêve devrait entrer en vigueur dimanche à 13 h 30 GMT, ouvrant ainsi la voie à un afflux massif d'aide, selon les médiateurs.

Des centaines de camions sont garés du côté égyptien du poste frontière de Rafah, un point d'entrée autrefois vital pour l'aide humanitaire, fermé depuis mai, lorsque les forces israéliennes ont pris le contrôle du côté palestinien du point de passage.

Au cours d'une conférence de presse conjointe avec son homologue nigérian, M. Abdelatty a déclaré : « Nous espérons que 300 camions se rendront au nord de la bande de Gaza », où des milliers de personnes sont bloquées dans des conditions que les agences humanitaires qualifient d'apocalyptiques.

Les travailleurs humanitaires ont mis en garde contre les obstacles monumentaux qui pourraient entraver les opérations d'aide, notamment la destruction des infrastructures qui traitaient auparavant les livraisons.