Incarcéré à la prison d'Oujda (est du Maroc), Abderrahim Khayali, 36 ans, «s'est donné la mort par pendaison en utilisant un morceau de tissu extrait de ses vêtements, qu'il a attaché à la fenêtre de sa cellule»
Il avait été condamné en appel à la peine capitale devant un tribunal antiterroriste en octobre 2019, ainsi que trois autres accusés, pour la décapitation de deux jeunes touristes scandinaves au Maroc au nom du groupe Etat islamique (EI)
Les civils cherchaient des truffes dans la province de Hama «lorsqu'une mine laissée par des terroristes de Daech (acronyme arabe de l'EI, NDLR) a explosé, tuant neuf citoyens et en blessant deux autres», a rapporté l'agence
Une deuxième mine a explosé plus tard dans la même zone, selon Sana, causant la mort d'un civil et en blessant dix autres
Douha M. était partie une première fois en Syrie où elle avait séjourné environ deux mois fin 2013-début 2014, avec son premier mari turc
Selon les investigations, pendant que son mari combattait au sein du groupe Etat islamique (EI), Douha M. exerçait une activité de sage-femme, en Irak et en Syrie
Au total, 11 personnes ont reçu une peine allant de cinq ans de prison à la peine capitale, au cours de ce procès jugeant les auteurs présumés d'attentats en 2018 qui avaient causé la mort de six membres des forces de l'ordre
Le 10 août 2018, deux policiers ont été tués et six autres blessés lors d'un attentat contre une patrouille chargée d'assurer la sécurité d'un festival de musique dans une ville située 12 km à l'ouest d'Amman
Sept personnes ont également été blessées dans cette attaque sur la route de la Mauritanie, selon les autorités
Le 7 février, deux policiers et un gendarme maliens avaient été tués dans l'attaque d'un poste de contrôle par des djihadistes présumés dans la même région