«Nous faisons entièrement confiance à la sagesse des dirigeants politiques tunisiens, ainsi qu’à leur capacité à gérer la situation de manière à répondre aux aspirations du peuple»
Lamamra, qui mentionne la solidarité algérienne, estime pour sa part que «ce qui se passe en Tunisie est une affaire interne»
Ce coup de théâtre ébranle la jeune démocratie tunisienne, qui fonctionne depuis l'adoption en 2014 d'une Constitution de compromis selon un système parlementaire mixte, dans lequel le président n'a comme prérogatives que la diplomatie et la sécurité
Des Tunisiens, exaspérés par les luttes de pouvoir et la gestion contestée de la crise sociale et sanitaire par le gouvernement, sont sortis dans la rue en dépit du couvre-feu, tirant des feux d'artifice et klaxonnant avec enthousiasme à Tunis et ailleurs