Comme attendu, le dossier du Sahara occidental, la priorité de la diplomatie marocaine, a figuré en bonne place au menu de l'entretien avec M. Bourita
Antony Blinken a rencontré en fin d'après-midi le prince héritier d'Abou Dhabi, Mohammed ben Zayed Al-Nahyane. «Le partenariat entre nos pays compte vraiment», a assuré M. Blinken
« L'UE condamne dans les termes les plus fermes les forces armées russes et leurs mandataires, qui continuent de cibler la population civile et les infrastructures civiles ukrainiennes», a déclaré Josep Borrell
Le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken a estimé jeudi que les attaques russes contre des civils en Ukraine constituaient des «crimes de guerre»
Les chefs des diplomaties russe et américaine doivent se reparler mardi après de nouvelles invectives autour de la crise ukrainienne, l'Occident affûtant ses armes économiques dans l'espoir de faire enfin céder Moscou
La Russie est accusée par les Occidentaux d'avoir massé plusieurs dizaines de milliers de militaires à la frontière de son voisin en prévision d'une possible invasion
L’appel de vendredi fait suite aux attaques de cette semaine sur Abu Dhabi, dans les Émirats arabes unis, et à la poursuite des frappes visant l’Arabie saoudite
Des sites civils, tels que l’aéroport international d’Abu Dhabi, ont été ciblés par des missiles et des drones, faisant au moins trois morts et plusieurs blessés
M. Blinken a pris la parole aux côtés du ministre égyptien des Affaires étrangères, Sameh Choukri, au département d’État, en amont d’un dialogue stratégique entre les États-Unis et l’Égypte
Il a souligné la nécessité d’évacuer les forces étrangères et les mercenaires de Libye, saluant le rôle du Caire sur cette question
Les États-Unis considèrent l'Arabie saoudite comme un partenaire essentiel et l'Amérique s'est engagée à défendre le Royaume, a déclaré Antony Blinken
«Notre relation a apporté une valeur énorme à nos deux pays, pas seulement à nous, mais aussi à la région et au monde», souligne le prince Faisal ben Farhan
Le président Ghani devait rester dans ses fonctions jusqu'à ce que les belligérants qui négociaient au Qatar parviennent à un accord sur un futur gouvernement
«Le vide» laissé par sa fuite a précipité la prise de Kaboul par les insurgés, rendant encore plus instable la sécurité de la ville