Conscient de la fragilité de son gouvernement face à une Assemblée elle-même promise par beaucoup à la dissolution.
Le gouvernement va en effet devoir s'atteler au plus vite à la difficile tâche de faire adopter avant le 31 décembre par le Parlement les budgets de l'Etat et de la Sécurité sociale.
Le président du parlement iranien, Mohammad Baqer Qalibaf, a déclaré dimanche que les groupes militants continueraient à affronter Israël avec l'aide de Téhéran .
« Nous n'hésiterons pas à aller jusqu'au bout pour aider la résistance », a déclaré M. Qalibaf.
Ce vote de confiance imposé par une opposition conservatrice largement en tête dans les sondages
Le vote sur la motion aura lieu mercredi et les deux autres partis d'opposition ont déjà indiqué qu'ils voteraient contre, ce qui maintiendrait au pouvoir le gouvernement de Justin Trudeau.
Une motion de censure sera déposée par la gauche juste après la déclaration de politique générale du Premier ministre, prévue le 1er octobre, a confirmé sur France 3 le patron du PS Olivier Faure
C'est le gouvernement "le plus à droite de la Ve République", a estimé Olivier Faure.
La proposition de loi rendrait illégal le fait de faire l'éloge d'un individu ayant commis un acte terroriste, et pas seulement de l'acte lui-même.
Selon les groupes de défense des droits, la législation vise à supprimer la liberté d'expression et à cibler les citoyens arabes pour des raisons politiques.
Depuis Strasbourg, Mme von der Leyen a présenté une équipe de 11 femmes pour 16 hommes, soit légèrement en deçà de la parité promise. "Il "reste encore du travail à accomplir", a convenu la dirigeante allemande.
Mme von der Leyen a insisté sur l'économie "compétitive, circulaire et décarbonée", dans le sillage du récent rapport de Mario Draghi sur les difficultés économiques de l'Union.
On nous a refusé la consultation de ces documents", au motif qu'il s'agit de "documents préparatoires", a déclaré le président de la commission des finances de la chambre basse du Parlement Eric Coquerel.
Ces documents "sont nécessaires pour accomplir notre travail de parlementaires", avait préalablement déclaré Eric Coquerel. Son collègue Charles de Courson avait demandé que le Parlement soit "respecté", en l'absence de majorité claire.
Le bureau de l'Assemblée nationale, sa plus haute instance exécutive, l'a jugée recevable par 12 voix contre 10 et l'a renvoyée devant sa commission des Lois, selon le chef du groupe Union des droites pour la République, Eric Ciotti.
La démarche a cependant très peu de chances d'aboutir, la gauche étant minoritaire en commission, comme dans l'hémicycle, où la destitution doit être approuvée par deux tiers des parlementaires.