Le Maroc lance un projet ambitieux : la construction d'une nouvelle "autoroute de l'eau" de 50 kilomètres reliant les barrages Oued El Makhazine (près de Ksar El Kébir) et Dar Khrofa
La nouvelle autoroute de l'eau est prévue pour transférer 100 millions de mètres cubes d'eau par an avec un débit de 3,2 m3/s
Mayotte, département le plus pauvre de France, est soumis à sa plus importante sécheresse depuis 1997, alors que son approvisionnement dépend essentiellement des eaux pluviales
Depuis plusieurs mois, l'eau est distribuée au compte-goutte aux habitants, 300 000 personnes selon l'Insee, sans compter les personnes sans papiers
L'archipel français de l'océan Indien ne parvient plus à répondre aux besoins de sa population - 300.000 habitants selon l'Insee
Dans le chef-lieu Mamoudzou, la préfecture a fait le choix de conserver des coupures quotidiennes de 16h00 à 8h00 du matin et de les intensifier le week-end, avec trente-six heures de coupure consécutives à compter du 4 septembre
Le projet des «autoroutes de l'eau» a permis pour la première fois de connecter les bassins de Sebou et de Bouregreg au Maroc, évitant d’importantes pertes en eau
Ce projet ambitieux fait du Maroc un pionnier en Afrique dans la gestion de l'eau à l’heure où le continent souffre de pénuries d'eau
Selon les conclusions des études effectuées par le Centre de recherche en environnement (CRE), le traitement et le recyclage des eaux usées constituent la solution idéale
Le gouvernement algérien a mis en place un plan d’urgence en matière de construction de barrages et de stations de dessalement d’eau de mer
La France comptait «72% de nappes qui sont en-dessous des normales de saison» au 1er août, contre 68% un mois auparavant, a indiqué le ministre de la Transition écologique, Christophe Béchu
Les pluies estivales n'auront pas permis de corriger une situation difficile car elles pénètrent peu en profondeur et ne permettent ainsi pas de recharger des nappes phréatiques en souffrance depuis l'an dernier
La Banque mondiale annonce que le Programme vise à soutenir le gouvernement marocain dans la mise en œuvre de son Programme national d’approvisionnement en eau potable et d’irrigation
Axé sur trois piliers, il entend renforcer la gouvernance du secteur de l’eau, améliorer la viabilité financière et l’efficacité de l’utilisation de l’eau, ainsi qu’intégrer des ressources en eau non conventionnelles
En dépit des mesures prises par le gouvernement à travers la mise en place d’un programme d’urgence de mobilisation des ressources hydriques, souterraines ou de surface, une gestion rationnelle des disponibilités s’impose
«La réorganisation du secteur de l’eau pour un développement rationnel et durable devient une nécessité»