Le ministre français de l’Europe et des Affaires étrangères effectue un déplacement au Moyen-Orient avec son homologue britannique, la première visite conjointe franco-britannique depuis plus de dix ans
A cette occasion, les ministres rappelleront que l’heure n’est plus, pour les parties, à trouver des excuses ou des délais supplémentaires s’agissant d’un accord de cessez-le-feu – les combats doivent s’arrêter maintenant
John Kirby, porte-parole du Conseil de sécurité nationale, a indiqué que les discussions continueraient vendredi, ajoutant: "Nous en sommes à un point où le cadre de l'accord est généralement accepté.
"Il faut que les otages soient libérés, il faut du répit pour les civils palestiniens à Gaza, de la sécurité pour Israël et une baisse des tensions dans la région, et tout cela le plus vite possible", a-t-il dit.
La France "soutient le Liban et dans ce cadre-là, (...) nous souhaitons un cessez-le-feu également" à Gaza, "nécessaire pour garantir la paix dans la région"
M. Séjourné a dit porter aux autorités libanaises un "message très simple" de "désescalade" qui sera adressé "également à d'autres pays dans la région" pour envisager un avenir "plus apaisé".
Les discussions en vue d'une trêve dans la bande de Gaza se dérouleront jeudi au Qatar, ont indiqué à l'AFP trois sources proches des négociations, tandis que la participation du Hamas reste incertaine.
"Plus vite la Russie acceptera de rétablir une paix juste (...), plus vite cesseront les incursions des forces de défense ukrainiennes en territoire russe", a prévenu le porte-parole de la diplomatie ukrainienne Gueorguiï Tykhiï .
L'armée ukrainienne a affirmé lundi contrôler 1.000 kilomètres carrés du territoire russe.
"Nous sommes avant tout préoccupés par les pertes civiles", a dit Vladimir Poutine au dirigeant palestinien devant la télévision russe.
Samedi, un raid israélien sur une école abritant des déplacés dans la ville de Gaza (nord) a tué 93 Palestiniens, selon la Défense civile palestinienne.
"Le Soudan illustre ce qui se passe lorsque le droit international humanitaire n'est pas respecté".
Les pourparlers de Genève, coparrainés par l'Arabie saoudite, doivent inclure l'Union africaine, l'Egypte, les Emirats arabes unis et l'ONU en tant qu'observateurs, avait précisé Washington.
"Les combats doivent cesser tout de suite et tous les otages encore détenus par le Hamas doivent être libérés"
"Nous convenons qu'il ne peut plus y avoir aucun délai supplémentaire", ajoutent les dirigeants européens, se disant "profondément préoccupés par l'aggravation des tensions dans la région"