«La première semaine est morose» mais «petit à petit les réservations reprennent» à mesure que la situation s'améliore au niveau de l'approvisionnement de carburants, a assuré Laurent Duc, président de l'Umih
Le recul des réservations «n'est plus que de 15 à 20% quand il était de 30 à 40% il y a une semaine» avec «des annulations à la chaîne» au pic des pénuries dans les stations
Selon Saad Al-Suwaidi, responsable du centre de service Hayya à Doha, entre 1,5 et 1,7 million de personnes ont fait la demande sur le portail internet d'Hayya
La carte Hayya est obligatoire pour tous les non-résidents qui veulent se rendre au Qatar à partir du 1er novembre
Après des années d'inflation ou d'hyperinflation, la confiance dans le peso s'est envolée et ceux qui en ont les moyens cherchent à épargner en dollars, en tant que monnaie refuge
Face au niveau critique de réserves en devises, ainsi qu'à la concurrence du dollar «bleu», l'Argentine crée régulièrement de nouveaux taux de change
«Nous ne pouvons protéger que ce que nous connaissons. Et cette expédition est la première étape de cette connaissance», a déclaré le secrétaire d'Etat à la mer, José Maria Costa
L'expédition a été organisée par la fondation Oceano Azul, qui gère l'aquarium de Lisbonne, à la demande des municipalités de Cascais, Sintra et Mafra, situées sur la façade atlantique à l'ouest de la capitale portugaise
Les hôtels, les compagnies aériennes et les tour-opérateurs en Arabie Saoudite, aux Émirats arabes unis et à Oman proposent des services spéciaux
Les entreprises du secteur du voyage, du tourisme et de l'hôtellerie espèrent générer des milliards grâce à l'hébergement et au transport des supporters
L'accord stipule que l’OAT accrédite le Collège du tourisme et de l'hospitalité de l'Université internationale Roi Salmane en tant que centre régional de formation de la jeunesse arabe
L'Université internationale Roi Salmane est une université privée située dans le Sinaï, en Égypte, et comprend un collège de tourisme et d'hôtellerie
«Nous manifestons d'abord parce que nous sommes mal payés», explique à l'AFP Souleymane, un Ivoirien de 30 ans qui dit gagner environ 300 euros par semaine pour des journées de travail de 14 heures
La situation la plus précaire parmi les livreurs revient aux travailleurs sans papiers, contraints de louer des comptes ouverts sous une autre identité