Les contestataires ont défilé entre la gare du Nord et le quartier européen, comme lors des deux précédentes manifestations, le 21 novembre et le 5 décembre
Près de 10 000 contaminations sont enregistrés chaque jour en Belgique, selon les données fournies par l’Institut de santé publique Sciensano
Pris pour cible par un groupe qui lançait des cannettes, pétards et tirait des feux d'artifice dans leur direction, les policiers ont répliqué avec des canons à eau et des gaz lacrymogènes
«Vaccins non merci», «Covid = génocide organisé», «QR = swastika», pouvait-on lire sur des pancartes
La photo du visage du Belge de 36 ans s'affiche en grand sur les écrans de la cour d'assises spéciale de Paris, mais lui n'est pas dans la salle
A Raqqa, capitale autoproclamée de l'Etat islamique, Mohamed Abrini retrouve son ami de 20 ans Abdelhamid Abaaoud, futur coordinateur des attentats qui ont fait 130 morts à Paris et Saint-Denis
Salah Abdeslam, Mohamed Abrini, Sofien Ayari et Osama Krayem ont refusé de rejoindre le box pour protester contre l'absence physique à la barre
«Salah Abdeslam a joué le jeu de l'audience. Il a compris la nécessité de s'y présenter et d'y participer. Mais aujourd'hui, il fait un refus d'extraction car il y a des choses que l'on peut peiner à comprendre», a expliqué son avocate Olivia Ronen
La marche belge a démarré pacifiquement mais la police a ensuite utilisé des canons à eau et des gaz lacrymogènes face à un groupe de personnes lançant des projectiles
Aux Pays-Bas, des casseurs se sont livrés à des dégradations pour la troisième soirée consécutive
Depuis le 8 septembre, la France juge 14 hommes accusés, à des degrés divers, d'avoir participé aux attentats du 13 novembre 2015 survenus à Paris et en proche banlieue, et revendiqués par le groupe Etat islamique, qui ont causé la mort de 130 personnes
Salah Abdeslam, seul membre encore en vie des commandos, a justifié les attaques djihadistes en les présentant comme une riposte à la politique étrangère de la France et de son président d'alors