Le ministre de la Défense Peter Dutton a signé avec les diplomates britannique et américain un accord autorisant l'échange d'«information sur la propulsion nucléaire navale» entre leurs pays
Il s'agit du premier accord signé et rendu public depuis l'annonce en septembre par les trois pays de leur nouvelle alliance de défense
«On ne traite pas ses alliés, ses amis comme on a été traité. Ce n'est pas possible, ce n'est pas conforme à l'intérêt stratégique de nos deux nations», a réagi l'ancien chef de l'Etat
Concernant le Royaume-Uni, le président Sarkozy a déploré son éloignement de la France et de l'Europe
Malcolm Turnbull, dont le gouvernement a approuvé le contrat de sous-marins avec Paris en 2016, s'est montré cinglant envers Scott Morrison
«La France pense qu'elle a été trompée et humiliée et elle l'a été. Cette trahison de la confiance va marquer nos relations avec l'Europe pour des années»
Le chef du gouvernement britannique et le président français «ont réaffirmé l'importance de la relation entre la France et le Royaume-Uni»
L'Elysée a assuré que Boris Johnson avait exprimé «son intention de rétablir une coopération entre la France et le Royaume-Uni, conforme à nos valeurs et à nos intérêts communs»
Le président démocrate de 78 ans s'était installé après son investiture en janvier au-dessus de 50% d'opinions favorables, un niveau jamais atteint par son prédécesseur Donald Trump
Mais il est passé sous cette barre à la mi-août, lorsque le retrait des troupes américaines en Afghanistan a tourné au sauve-qui-peut. Et après l'été tourmenté, la rentrée est périlleuse