Les policiers ont ressorti de leurs archives les vieux protocoles pour les grandioses obsèques de la reine Elizabeth II, qui s'annoncent comme un casse-tête
Avant la cérémonie, le corps sera exposé publiquement pendant quatre jours à Westminster Hall, la plus vieille section des Chambres du Parlement, après une procession dans les rues de Londres
Après avoir passé la nuit au château de Balmoral, en Ecosse, où s'est éteinte jeudi Elizabeth II, Charles est rentré à Londres dans un jet de la Royal Air Force avant de rejoindre le palais
L'étendard royal, signalant la présence du monarque dans sa principale résidence, a été hissé sur le palais pour la première fois de son règne.
«C'était une dame formidable, je suis tellement heureux d'avoir pu la rencontrer», a affirmé le président Joe Biden aux employés de l'ambassade
Les cinq anciens présidents encore vivants, à savoir Jimmy Carter, Bill Clinton, George W. Bush, Barack Obama et Donald Trump, ont chacun salué sa mémoire, dans des communiqués associant leurs épouses
Son accession au trône après 70 ans de patience, un record dans l'histoire de la monarchie britannique, a été immédiate à la mort de la reine, en vertu d'une ancienne maxime latine « Rex nunquam moritur» (le roi ne meurt jamais)
Il s'appellera Charles III, ont confirmé ses services dans la soirée, peu après que la Première ministre Liz Truss eut salué le nouveau monarque
Les médecins de la reine, dans sa résidence d'été du château écossais de Balmoral, se disent « préoccupés» par son état de santé et recommandent qu'elle « reste sous surveillance médicale»
C'est le communiqué au ton le plus alarmant jamais publié par le palais de Buckingham au sujet d'Elizabeth II. Sa famille se rassemble à son chevet