Xi Jinping semble assuré d'obtenir un troisième mandat de secrétaire général à la tête du parti, et donc du pays. Mais quelques subtilités restent en jeu
«Un Parti communiste chinois sans factions, ça n'existe pas», prévient le sinologue Jean-Philippe Béja, ce qui pourrait obliger Xi Jinping à composer avec d'autres courants du parti
Le chef du parti des Modérés, artisan d'un rapprochement sans précédent de la droite traditionnelle et du camp nationaliste aux élections législatives de septembre, a réuni 176 voix pour son élection comme chef de gouvernement, pour 173 contre
Après huit ans de gauche au pouvoir, il succède à la cheffe du gouvernement sociale-démocrate Magdalena Andersson, qui assurait la transition après avoir présenté sa démission après des élections très serrées
A partir de dimanche, quelque 2 300 délégués choisis par les différentes assemblées du Parti se réuniront à huis clos, après une cérémonie à Pékin au Palais du peuple qui domine la place Tiananmen
Xi Jinping, 69 ans, y fera le bilan des cinq dernières années et livrera sa feuille de route des cinq prochaines lors d'un discours retransmis à la télévision
«Nous nous inclinons respectueusement devant la douleur» de la famille de Samuel Paty, «mais la mort de Samuel Paty dépasse Samuel Paty», insiste Eric Zemmour
«C'est un crime digne d'un pays en guerre, qui nous rappelle les antiques guerres de religion et la guerre en Algérie», a-t-il estimé
La cérémonie de signature, précédée des hymnes algérien et palestinien, s'est déroulée devant une large assistance formée de membres du gouvernement, chefs de partis algériens et d'ambassadeurs de pays arabes
La déclaration a été signée dans le Palais des Nations où, le 15 novembre 1988, le chef de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), Yasser Arafat, «avait annoncé la création d'un Etat palestinien», a souligné le président algérien
«J'ai l'honneur de demander des excuses solennelles au Rassemblement national pour avoir employé le terme de ‘lâche’ à une personne qui a toujours fait preuve de courage dans son engagement politique(…)», a rétorqué Bruno Le Maire
Devant la presse, Marine Le Pen a reproché à Bruno Le Maire sa «posture menaçante»