Créer et imaginer des mondes différents et nouveaux est la direction artistique annoncée par ce festival et partagée avec les artistes de la programmation. « Chaque œuvre sera singulière de par son histoire, son esthétique et son paysage artistique, mais toutes nous invitent à nous déplacer, à nous retrouver et à voir le monde, les gens, et surtout les autres autour de nous avec plus d’empathie, plus de solidarité et plus d’amour.
Défi relevé par l’équipe d’«El Badil», qui a, durant ces quatre jours, réussi à faire bouger la scène de la danse et proposer au public une expression de l’intime et une géographie du corps. La danse est une question de territoire. Entre l’identitaire et le personnel, elle s’offre aux lectures et porte la marque de l’auteur.
Ce que ce festival des premières chorégraphiques offre est des plus précieux. C’est une radiographie de ce que la scène de la danse en Tunisie porte comme potentiel et dévoile les manquements et les lacunes.
La deuxième journée de ces rencontres a présenté deux propositions. Deux univers et deux approches. Ces orientations foisonnent, parmi tant d’autres et articulent le phrasé qui résume la danse comme métier, pratique et expression.
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