La décision d’organiser des élections présidentielles anticipées suscite une multitude de réactions, notamment sur les réseaux sociaux, où chacun tente de lui donner une interprétation politique.
Une surprise et beaucoup d’interrogations en attente de réponses ! La présidentielle 2024 n’aura pas lieu en décembre… mais en septembre prochain. La décision a été prise, jeudi dernier, par le président Abdelmadjid Tebboune, qui a usé de ses prérogatives contenues dans l’article 91 de la Constitution, qui stipule, dans son alinéa 11, que «le Président peut décider d’organiser des élections présidentielles anticipées».
Ce rendez-vous, indique un communiqué de la présidence de la République, aura lieu «samedi 7 septembre». La question a été tranchée, selon la même source, à l’issue d’une réunion à laquelle ont pris part les présidents des deux Chambres du Parlement, le président de la Cour constitutionnelle, le Premier ministre, le chef d’état-major de l’Armée nationale populaire (ANP), le directeur de cabinet de la Présidence, le ministre de l’Intérieur ainsi que le président de l’Autorité nationale indépendante des élections.
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