Zoubida Assoul, avocate et présidente de l’Union pour le changement et le progrès (UCP), est la première personnalité politique à décider de se porter candidate à la candidature de la présidentielle 2024.
Dans cet entretien, elle revient sur les raisons de sa participation à ce rendez-vous électoral, alors que son parti a, depuis sa création, opté pour le boycott. Son programme électoral sera dévoilé dès la convocation du corps électoral. Elle pense que l’Algérien ne boudera pas cette fois-ci les urnes, pour peu que des mesures d’apaisement interviennent.
Elle fait part de sa vision de l’indépendance de la justice. Elle estime, par ailleurs, que la politique étrangère du pays et sa capacité à influer sur la géopolitique dépend de sa stabilité en interne.
Vous êtes la première personnalité politique à décider de vous lancer dans la compétition électorale pour la présidentielle de décembre prochain. Pourquoi ? Qu’est-ce qui a motivé la décision de l’UCP ?
Depuis son agrément en 2013, l’Union pour le changement et le progrès (UCP) n’avait jamais participé à une quelconque élection, nous avions privilégié l’éveil politique et la formation des militants.
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