Samira Negrouche reste l’une des meilleures poétesses algériennes de sa génération. Dans cet entretien passionnant, elle revient sur la parution de son anthologie J’habite en mouvement, de son amour pour Alger et de sa fascination pour certains poètes contemporains qui continuent à la bercer. Elle nous donne aussi une lecture éclairée de sa vision du monde.
- Dans votre anthologie J’habite en mouvement (Barzakh), vous conviez le lecteur à revisiter certaines de vos œuvres, publiées entre 2001 et 2021. Comment est né ce projet innovant ?
Je crois que ce livre est né d’une concordance de désirs et de la fin d’un cycle marquant. Fondées en 2000, les éditions Barzakh ont publié mon premier recueil Faiblesse n’est pas de dire en mars 2001. A cette période, il y avait un renouveau et même une renaissance de la scène culturelle en Algérie après une décennie de suspension. Nous avons donc contribué à cette relance, nous y avons mis beaucoup d’efforts et beaucoup de cœur.
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