La Syrie s'engage à mettre fin au trafic de stupéfiants lors d'une réunion des ministres arabes des AE

L'engagement a été pris lors d'une réunion historique à Amman à laquelle ont participé les ministres des Affaires étrangères d'Arabie saoudite, d'Égypte, d'Irak et de Jordanie, ainsi que le ministre syrien des Affaires étrangères Fayçal Mekdad (Photo, SPA).
L'engagement a été pris lors d'une réunion historique à Amman à laquelle ont participé les ministres des Affaires étrangères d'Arabie saoudite, d'Égypte, d'Irak et de Jordanie, ainsi que le ministre syrien des Affaires étrangères Fayçal Mekdad (Photo, SPA).
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Fayçal ben Farhane al-Saoud, assiste à une réunion consultative régionale à Amman, en Jordanie, le lundi 1er mai 2023 (Photo, AP).
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Fayçal ben Farhane al-Saoud, assiste à une réunion consultative régionale à Amman, en Jordanie, le lundi 1er mai 2023 (Photo, AP).
Le ministre syrien des Affaires étrangères Fayçal Mekdad, souriant, assiste à une réunion consultative régionale à Amman, en Jordanie, le lundi 1er mai 2023 (Photo, AP).
Le ministre syrien des Affaires étrangères Fayçal Mekdad, souriant, assiste à une réunion consultative régionale à Amman, en Jordanie, le lundi 1er mai 2023 (Photo, AP).
Le ministre jordanien des Affaires étrangères Ayman Safadi, à gauche, serrant la main de son homologue égyptien Sameh Shoukry, lors d'une réunion consultative régionale à Amman, en Jordanie, le lundi 1er mai 2023 (Photo, AP).
Le ministre jordanien des Affaires étrangères Ayman Safadi, à gauche, serrant la main de son homologue égyptien Sameh Shoukry, lors d'une réunion consultative régionale à Amman, en Jordanie, le lundi 1er mai 2023 (Photo, AP).
Le ministre jordanien des Affaires étrangères Ayman Safadi, à droite, arrivant avec son homologue syrien Faisal Mekdad, pour assister à une réunion consultative régionale à Amman, en Jordanie, le lundi 1er mai 2023 (Photo, AP).
Le ministre jordanien des Affaires étrangères Ayman Safadi, à droite, arrivant avec son homologue syrien Faisal Mekdad, pour assister à une réunion consultative régionale à Amman, en Jordanie, le lundi 1er mai 2023 (Photo, AP).
Le ministre jordanien des Affaires étrangères Ayman Safadi, au centre, le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Fayçal ben Farhane al-Saoud, deuxième à gauche, le ministre irakien des Affaires étrangères Fouad Hussein, à gauche, le ministre égyptien des Affaires étrangères Sameh Shoukri, à droite, et le ministre syrien des Affaires étrangères Fayçal Mekdad, deuxième à droite, assistant à une réunion consultative régionale à Amman, en Jordanie, le lundi 1er mai 2023 (Photo, AP).
Le ministre jordanien des Affaires étrangères Ayman Safadi, au centre, le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Fayçal ben Farhane al-Saoud, deuxième à gauche, le ministre irakien des Affaires étrangères Fouad Hussein, à gauche, le ministre égyptien des Affaires étrangères Sameh Shoukri, à droite, et le ministre syrien des Affaires étrangères Fayçal Mekdad, deuxième à droite, assistant à une réunion consultative régionale à Amman, en Jordanie, le lundi 1er mai 2023 (Photo, AP).
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Publié le Vendredi 29 septembre 2023

La Syrie s'engage à mettre fin au trafic de stupéfiants lors d'une réunion des ministres arabes des AE

  • L'objectif de cette réunion était de discuter des moyens de normaliser les relations avec la Syrie
  • La Syrie est accusée par les gouvernements arabes et l'Occident de produire le Captagon, substance à la fois addictive et lucrative, et de l’introduire en contrebande dans le Golfe

AMMAN: La Syrie s’est engagée lundi à mettre fin au trafic de drogue à travers ses frontières avec la Jordanie et l'Irak, et à déterminer l’origine de la production et du transport des stupéfiants.

L'engagement a été pris lors d'une réunion historique à Amman à laquelle ont participé les ministres des Affaires étrangères d'Arabie saoudite, d'Égypte, d'Irak et de Jordanie, ainsi que le ministre syrien des Affaires étrangères Fayçal Mekdad. 

L'objectif de cette réunion était de discuter des moyens de normaliser les relations avec la Syrie, dans le cadre de la mise en place d’un règlement politique de la guerre civile qui ravage le pays depuis 13 ans.

Une déclaration finale après la réunion a précisé que les ministres avaient discuté des moyens de rapatriement volontaire de millions de déplacés syriens, ainsi que de la coordination des efforts pour lutter contre le trafic de drogue.

Selon cette même déclaration, Damas aurait accepté de «prendre les mesures nécessaires pour mettre fin à la contrebande aux frontières avec la Jordanie et l'Irak» et de déterminer l’origine de la production et du transport des stupéfiants dans ces deux pays.

La Syrie est accusée par les gouvernements arabes et l'Occident de produire le Captagon, substance à la fois addictive et lucrative, et de l’introduire en contrebande dans le Golfe.

Le ministre jordanien des Affaires étrangères, Ayman Safadi, a indiqué que la réunion n’était qu’«un début, et que le processus se poursuivait» pour mettre fin au conflit.

«Il faut qu’il y ait des mesures concrètes qui conduisent à une amélioration des conditions dans lesquelles vivent les Syriens», a-t-il affirmé. Une décision sur la réadmission de la Syrie dans la Ligue arabe serait prise par l'organisation elle-même, a déclaré Safadi.

La Jordanie a exhorté la Syrie à collaborer avec les pays arabes sur la base d’une feuille de route, étape par étape, en vue de mettre un terme au conflit en Syrie, en s'attaquant aux problèmes des réfugiés, des détenus, du trafic de drogue et des milices soutenues par l'Iran.

Les pourparlers à Amman étaient «clairs et sincères», a dit Safadi, avant d’ajouter: «Nous nous sommes mis d'accord sur des dispositifs pour commencer à organiser le retour sûr et volontaire des réfugiés, en coordination avec les Nations Unies.»

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Le ministre saoudien des Affaires étrangères réaffirme son soutien à la Palestine lors du forum de l'OCI en Gambie

Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal Ben Farhane, a réaffirmé samedi l'appel du Royaume à un cessez-le-feu immédiat et durable à Gaza, à des couloirs humanitaires sûrs et à la réalisation des droits légitimes des Palestiniens, y compris leur droit à l'autodétermination et à un Etat indépendant. (SPA)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal Ben Farhane, a réaffirmé samedi l'appel du Royaume à un cessez-le-feu immédiat et durable à Gaza, à des couloirs humanitaires sûrs et à la réalisation des droits légitimes des Palestiniens, y compris leur droit à l'autodétermination et à un Etat indépendant. (SPA)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal Ben Farhane, a réaffirmé samedi l'appel du Royaume à un cessez-le-feu immédiat et durable à Gaza, à des couloirs humanitaires sûrs et à la réalisation des droits légitimes des Palestiniens, y compris leur droit à l'autodétermination et à un Etat indépendant. (SPA)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal Ben Farhane, a réaffirmé samedi l'appel du Royaume à un cessez-le-feu immédiat et durable à Gaza, à des couloirs humanitaires sûrs et à la réalisation des droits légitimes des Palestiniens, y compris leur droit à l'autodétermination et à un Etat indépendant. (SPA)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal Ben Farhane, a réaffirmé samedi l'appel du Royaume à un cessez-le-feu immédiat et durable à Gaza, à des couloirs humanitaires sûrs et à la réalisation des droits légitimes des Palestiniens, y compris leur droit à l'autodétermination et à un Etat indépendant. (SPA)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal Ben Farhane, a réaffirmé samedi l'appel du Royaume à un cessez-le-feu immédiat et durable à Gaza, à des couloirs humanitaires sûrs et à la réalisation des droits légitimes des Palestiniens, y compris leur droit à l'autodétermination et à un Etat indépendant. (SPA)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal Ben Farhane, a réaffirmé samedi l'appel du Royaume à un cessez-le-feu immédiat et durable à Gaza, à des couloirs humanitaires sûrs et à la réalisation des droits légitimes des Palestiniens, y compris leur droit à l'autodétermination et à un Etat indépendant. (SPA)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal Ben Farhane, a réaffirmé samedi l'appel du Royaume à un cessez-le-feu immédiat et durable à Gaza, à des couloirs humanitaires sûrs et à la réalisation des droits légitimes des Palestiniens, y compris leur droit à l'autodétermination et à un Etat indépendant. (SPA)
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  • Le prince Faiçal, qui participait à la 15e conférence islamique au sommet en Gambie, a appelé à la restructuration, au développement et à la réforme de l'Organisation de la coopération islamique
  • Le Prince Faiçal a également appelé à la restructuration, au développement et à la réforme de l'OCI

BANJUL, Gambie : Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal Ben Farhane, a réaffirmé samedi l'appel du Royaume en faveur d'un cessez-le-feu immédiat et durable à Gaza, de corridors humanitaires sûrs et de la réalisation des droits légitimes des Palestiniens, notamment leur droit à l'autodétermination et à un État indépendant.

Le prince Faiçal, qui participait à la 15e conférence islamique au sommet en Gambie, a également appelé à la restructuration, au développement et à la réforme de l'Organisation de la coopération islamique (OCI) afin de relever les défis régionaux et internationaux.

Représentant le Gardien des deux saintes mosquées, le roi Salmane, le prince Faiçal a dirigé la délégation saoudienne à la conférence.

Dans son discours, il a regretté que le Conseil de sécurité des Nations unies et la communauté internationale n'aient pas réussi à mettre un terme aux attaques israéliennes contre les Palestiniens.

« La cause palestinienne est restée une priorité pour l'OCI depuis sa création », a déclaré le prince Faiçal.

« Il est regrettable de constater l'incapacité du Conseil de sécurité et de la communauté internationale à mettre un terme aux attaques israéliennes sans précédent, qui se sont intensifiées par des bombardements aveugles, la destruction d'hôpitaux, d'écoles, d'abris et d'infrastructures à Gaza, faisant des milliers de victimes parmi les civils innocents, dont des enfants, des femmes et des personnes âgées », a-t-il ajouté.

En marge du forum, le prince Faiçal a rencontré les ministres des Affaires étrangères iranien et pakistanais, respectivement Hossein Amir-Abdollahian et Ishaq Dar, pour discuter de la situation à Gaza.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com


Un médecin britanno-palestinien venu témoigner de la situation à Gaza refoulé en France

Mi-avril, le Dr Abu Sittah s'était vu interdire d'entrée en Allemagne, tout comme l'ex-ministre des Finances grec Yanis Varoufakis (Photo, @dr.ghassan.as).
Mi-avril, le Dr Abu Sittah s'était vu interdire d'entrée en Allemagne, tout comme l'ex-ministre des Finances grec Yanis Varoufakis (Photo, @dr.ghassan.as).
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  • Les autorités allemandes avaient justifié cette mesure par leur volonté «d'empêcher toute propagande antisémite et anti-israélienne»
  • Le Dr Ghassan Abu Sittah, qui a passé 43 jours à soigner à Gaza, notamment dans l'hôpital al-Chifa, devait participer à un colloque au Sénat

PARIS: Le recteur de l'université de Glasgow, Ghassan Abu Sittah, qui devait raconter au Sénat son expérience de médecin à Gaza depuis l'offensive israélienne, a décollé de Roissy pour rentrer à Londres samedi soir sans avoir pu entrer en France en raison d'une interdiction de l'espace Schengen émise par Berlin.

"Je suis à l'aéroport Charles De Gaulle. Ils m'empêchent d'entrer en France. Je suis censé prendre la parole au Sénat français aujourd'hui" samedi, avait-il déploré sur X samedi en fin de matinée. "Ils disent que les Allemands ont interdit mon entrée en Europe pendant un an", avait-il ajouté.

Une source policière avait confirmé à l'AFP qu'une "fiche d'interdiction de l'espace Schengen" émise par l'Allemagne empêchait son entrée à Paris. Il est finalement reparti à Londres en fin d'après-midi, a indiqué une autre source policière.

Mi-avril, le Dr Abu Sittah s'était vu interdire d'entrée en Allemagne, tout comme l'ex-ministre des Finances grec Yanis Varoufakis. Tous deux devaient participer à un "Congrès palestinien" à Berlin auquel la police allemande avait mis un terme une heure après son démarrage.

Questionnées au sujet de M. Varoufakis, des autorités allemandes avaient justifié cette mesure par leur volonté "d'empêcher toute propagande antisémite et anti-israélienne".

Dans une vidéo diffusée le jour-même sur X, le Dr Abu Sittah avait alors mentionné être interdit de territoire allemand "tout le mois d'avril". Il avait également dénoncé "la répression de la liberté d'expression en Allemagne", un pays selon lui "complice (de l'armée israélienne, NDLR) en faisant taire les témoins du génocide" à Gaza.

Censure

Le Dr Ghassan Abu Sittah, qui a passé 43 jours à soigner à Gaza, notamment dans l'hôpital al-Chifa, devait participer à un colloque au Sénat, organisé par la sénatrice écologiste Raymonde Poncet Monge.

"Scandaleux, @GhassanAbuSitt1 chirurgien plasticien et reconstructeur intervenu à #Gaza est empêché de participer à un colloque au @senat", a réagi Guillaume Gontard, président du groupe écologiste au Sénat, sur X.

Les organisateurs du colloque ont tenté, sans succès, d'intervenir auprès des cabinets de Gérald Darmanin et celui de Stéphane Séjourné" les ministres français de l'Intérieur et des Affaires étrangères.

Selon une source gouvernementale française, si une personne est signalée pour "non admission" dans le système d'information Schengen par un pays membre, elle n'est pas autorisée à entrer dans l'ensemble des pays de l'espace Schengen.

Le Sénat, en tant qu'institution n'était pas à l'origine de l'événement. Les groupes politiques sont libres d'organiser les colloques de leur choix.

Les forces israéliennes se sont retirées début avril de l'hôpital al-Chifa, dans lequel elles ont affirmé avoir lutté contre des combattants palestiniens lors d'une opération de deux semaines. Une mission dirigée par l'OMS avait fait état le 6 avril d'un hôpital réduit à une "coquille vide" parsemée de dépouilles humaines.


La municipalité de Riyad confirme qu'une seule entreprise est responsable des récents cas d'intoxication alimentaire

La municipalité de Riyad a conclu vendredi qu'un seul établissement alimentaire avait été jugé responsable de la vague d'intoxications alimentaires causées par le clostridium botulinum le 25 avril 2024. (Shutterstock/File Photo)
La municipalité de Riyad a conclu vendredi qu'un seul établissement alimentaire avait été jugé responsable de la vague d'intoxications alimentaires causées par le clostridium botulinum le 25 avril 2024. (Shutterstock/File Photo)
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  • Les autorités ont déclaré que la chaîne de restauration rapide pourrait être condamnée à une amende en raison de l'épidémie qui a entraîné l'hospitalisation de dizaines de personnes
  • Le ministère saoudien de la Santé a déclaré que 75 personnes avaient été touchées par l'épidémie, dont une est décédée

RIYAD : La municipalité de Riyad a confirmé vendredi que les résultats d'une enquête préliminaire menée par les autorités sanitaires suggèrent qu'une seule entreprise est responsable de plusieurs cas d'intoxication alimentaire la semaine dernière, causés par la bactérie Clostridium botulinum, qui ont nécessité l'hospitalisation de dizaines de personnes.

Elle a également confirmé que la chaîne pourrait être condamnée à une amende pour cette épidémie, révélée le 25 avril, et que toutes ses succursales et ses installations de transformation des aliments à Riyad et à Al-Kharj restaient fermées.

Le montant de l'amende sera fixé conformément à la législation en vigueur, sur la base d'une enquête complète et en tenant compte de la gravité des effets de l'incident sur les personnes malades, a ajouté la municipalité.

Elle n'a pas précisé combien de temps les succursales et autres installations de l'entreprise resteraient fermées, mais a indiqué que tous les produits alimentaires qu'elles contenaient seraient détruits et que le processus de nettoyage et de désinfection de tous les bâtiments, outils et machines serait supervisé par des fonctionnaires de la municipalité.

« Nous confirmons la sécurité des produits alimentaires pour les restaurants, les cuisines, les cafés et les traiteurs de la région de Riyad, car aucun cas n'a été enregistré en dehors de la source susmentionnée », a déclaré la municipalité.

La déclaration de vendredi n'a pas nommé la société impliquée, mais Arab News a rapporté la semaine dernière qu'un certain nombre de cas d'intoxication alimentaire semblaient liés à la chaîne de restauration rapide Hamburgini.

La municipalité de Riyad a déclaré que les équipes de surveillance sanitaire avaient pris des mesures rapides pour enquêter et surveiller la situation dès qu'elles ont commencé à recevoir des rapports sur les cas d'intoxication alimentaire.

Le 26 avril, Nawaf Al-Fozan, fondateur et PDG de Hamburgini, a partagé une vidéo sur la page Instagram de la chaîne qui confirme son implication dans l'épidémie.

Dans un communiqué distinct publié vendredi, le ministère saoudien de la Santé a également déclaré que tous les cas d'intoxication alimentaire étaient liés à la même source.

Le ministère de la Santé a déclaré que 75 personnes avaient été touchées par l'épidémie, et qu’un décès avait enregistré, et qu'aucun nouveau cas n'avait été signalé au cours des cinq derniers jours.

« Le nombre total de cas recensés s'élève à 75, dont 69 ressortissants saoudiens et 6 non saoudiens », a déclaré le porte-parole du ministère, le Dr Mohammed Al-Abd Al-Aly, dans un communiqué diffusé sur le réseau social X vendredi.

Le communiqué précise que 50 des cas ont été diagnostiqués comme étant causés par la bactérie Clostridium botulinum. Le ministère a expliqué que 43 patients avaient complètement récupéré et étaient sortis de l'hôpital, que 11 étaient actuellement en cours de traitement et que 20 cas étaient étroitement surveillés dans des unités de soins intensifs (USI).

« Le ministère continue de suivre de près les cas hospitalisés et de leur fournir les soins nécessaires, tout en leur souhaitant un prompt rétablissement », indique le communiqué. Il a souligné « l'importance de se fier aux sources officielles pour les instructions et les informations, et de ne pas répandre de rumeurs et de fausses informations ».

 

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com