Le mandat de Donald Trump ne devait pas se terminer de manière typique comme tous les autres mandats présidentiels. Trump n’était pas un président typique, ni dans son comportement politique ni dans la façon dont il avait gouverné en tant que président des États-Unis. Il a géré cette position comme s'il s'agissait d'une propriété personnelle, qui lui avait été accordée par le peuple américain pour corriger les «déséquilibres» tels que Washington qu'il qualifiait de sale marais et promettait de nettoyer. Ce «déséquilibre», comme il l'appelait, remonte à deux siècles, comme il le disait durant sa campagne présidentielle il y a quatre ans.
Pour cette raison, il était difficile pour Trump d'accepter que le peuple américain ait commis «l'erreur» de le retirer de la Maison Blanche. Auparavant, il a déclaré avec sincérité qu'il lui serait impossible de perdre à moins que les élections ne soient truquées. Et le voici maintenant, tenant à sa promesse et amenant la bataille électorale au tribunal dans l'espoir de récupérer certains des votes qu'il avait perdus dans les urnes.
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