L’Algérie mise énormément sur le secteur de l’Agriculture, pour réduire sa facture alimentaire et diversifier ses revenus hors hydrocarbures. Si la rente pétrolière et gazière a longtemps été la clé de voûte de la stabilité de son économie, le gouvernement ambitionne d’emprunter de nouvelles trajectoires, mobilisant d’autres gisements, pour sortir de l’ornière de la dépendance à l’égard de l’étranger.
La volonté de l’Algérie, au travers des engagements du président de la République Abdelmadjid Tebboune, est d’assigner au domaine agricole, une place hautement névralgique via des fonctions productives durables, génératrices d’emploi et de richesse. Un pas essentiel a déjà été franchi. Le Premier ministre, Aïmene Benabderrahmane, avait qualifié la réalisation de la Banque nationale des semences d’étape historique, estimant qu’il s’agit d’un nouveau jalon qui vient consolider notre souveraineté nationale ; cet organisme revêt une grande symbolique en ce sens qu’il confirme une avancée notable vers la réalisation de la sécurité alimentaire.
La branche des fertilisants en Algérie est un autre créneau prometteur en tant qu’outil efficace pour stimuler la diversification de l’économie. Chiffres à l’appui, le ministre de l’Énergie et des Mines, Mohamed Arkab, a, dans le cadre du 34e Congrès technique international de l’Union arabe des engrais, qui se tient à Alger, brossé un tableau encourageant…
NDLR: Mosaïque est une revue de presse qui offre au lecteur un aperçu sélectif et rapide des sujets phares abordés par des quotidiens et médias de renommée dans le monde arabe. Arab news en français se contente d’une publication très sommaire, renvoyant le lecteur directement vers le lien de l’article original. L’opinion exprimée dans cette page est propre à l’auteur et ne reflète pas nécessairement celle d’Arab News en français.