Tabouk occupe la première place des régions productrices de raisin du Royaume

Les agriculteurs recourent aux pesticides et aux engrais pour garantir la sécurité et la qualité de leur production; ils utilisent des techniques de contrôle des eaux d'irrigation et de pulvérisation électrostatique. (Photo fournie)
Les agriculteurs recourent aux pesticides et aux engrais pour garantir la sécurité et la qualité de leur production; ils utilisent des techniques de contrôle des eaux d'irrigation et de pulvérisation électrostatique. (Photo fournie)
Les agriculteurs recourent aux pesticides et aux engrais pour garantir la sécurité et la qualité de leur production; ils utilisent des techniques de contrôle des eaux d'irrigation et de pulvérisation électrostatique. (Photo fournie)
Les agriculteurs recourent aux pesticides et aux engrais pour garantir la sécurité et la qualité de leur production; ils utilisent des techniques de contrôle des eaux d'irrigation et de pulvérisation électrostatique. (Photo fournie)
Les agriculteurs recourent aux pesticides et aux engrais pour garantir la sécurité et la qualité de leur production; ils utilisent des techniques de contrôle des eaux d'irrigation et de pulvérisation électrostatique. (Photo fournie)
Les agriculteurs recourent aux pesticides et aux engrais pour garantir la sécurité et la qualité de leur production; ils utilisent des techniques de contrôle des eaux d'irrigation et de pulvérisation électrostatique. (Photo fournie)
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Publié le Mardi 06 septembre 2022

Tabouk occupe la première place des régions productrices de raisin du Royaume

Les agriculteurs recourent aux pesticides et aux engrais pour garantir la sécurité et la qualité de leur production; ils utilisent des techniques de contrôle des eaux d'irrigation et de pulvérisation électrostatique. (Photo fournie)
  • «Grâce aux recherches réalisées par les entreprises agricoles, Tabouk dispose de terrains propices à la culture du raisin», confie à Arab News Yahya Al-Moubaraki
  • «Il est important que le plant fournisse une grande variété de raisins et qu'il puisse pousser dans le sol de notre région»

LA MECQUE: La ville de Tabouk occupe la première place parmi les régions de culture du raisin du Royaume.
Le ministère saoudien de l'Environnement, de l'Eau et de l'Agriculture rapporte que cette région produit plus de 43 750 tonnes de raisin par an et compte 1 580 575 vignes.
«La culture et la cueillette du raisin sont menées de manière professionnelle et systématique à Tabouk. Ce sont les principales entreprises de la région [Astra Food Company Ltd. et Tabuk Agriculture Development Co.] ainsi que les propriétaires des zones agricoles qui s'en chargent», explique à Arab News Nasser al-Atwi, responsable du département de l'agriculture pour Tabouk auprès du ministère.

vin
D'après lui, le ministère encourage les agriculteurs, les guide tout au long du processus de culture et leur fournit divers points de vente, comme les foires agricoles, où ils peuvent commercialiser leurs produits.
Le ministère soutient en outre les agriculteurs grâce à des prêts proposés par le Fonds de développement agricole.

Focus

Le ministère saoudien de l'Environnement, de l'Eau et de l'Agriculture rapporte que cette région produit plus de 43 750 tonnes de raisin par an et abrite 1 580 575 vignes.

Le ministère encourage les agriculteurs, les guide tout au long du processus de culture et leur fournit divers points de vente, comme les festivals agricoles, où ils peuvent commercialiser leurs produits, précise le responsable du ministère.

 

Par ailleurs, le ministère organise plusieurs séminaires, des cours de formation, des conférences et des ateliers. L’objectif de ces événements est d’approfondir les connaissances et l'expertise des agriculteurs.
Au sujet de la viticulture à Tabouk, M. Al-Atwi explique que «la culture du raisin a été introduite à Tabouk grâce aux expériences vécues dans les régions voisines, mais aussi grâce aux efforts consentis par le ministère et qui visent à amener les agriculteurs à utiliser des méthodes modernes en matière d'agriculture et d'irrigation».

raisin
Après avoir réussi à cultiver du raisin, la ville de Tabouk approvisionne désormais d'autres régions.
Les agriculteurs recourent aux pesticides et aux engrais dans le respect des normes requises pour garantir la sécurité et la qualité de leurs récoltes. Ils utilisent des techniques telles que le système Enviroscan, qui permet de réguler la quantité d'eau nécessaire à l'irrigation. Un autre exemple d’irrigation est celui de la pulvérisation électrostatique, qui limite la consommation de pesticides hautement efficaces.
M. Al-Atwi a salué le prince de la province de Tabouk, Fahd ben Sultan, pour le soutien qu'il prodigue à l'agriculture dans la région – un secteur qui connaît un essor continu.
«Grâce aux recherches réalisées par les entreprises agricoles, Tabouk dispose de terrains propices à la culture du raisin», confie à Arab News Yahya al-Moubaraki, vice-président exécutif de la Tabuk Agriculture Development Co.

«Si la viticulture prospère, c'est grâce à la sélection des semis, qui proviennent de fournisseurs fiables; ils poussent ainsi dans les conditions climatiques de la région.»
«Il est important que le plant fournisse une grande variété de raisins et qu'il puisse pousser dans le sol de notre région.»
«Les différentes variétés récoltées devront en outre répondre aux exigences du marché local. Il faut également qu’elles suivent les processus postérieurs à la récolte: le tri, le triage, le stockage et le transport. Il est essentiel qu’elles résistent aux maladies et aux pesticides», explique M. Al-Moubaraki.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Les États-Unis débloquent 117 millions de dollars pour les Forces libanaises

Drapeau américain agitant isolément sur fond blanc (Photo iStock)
Drapeau américain agitant isolément sur fond blanc (Photo iStock)
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  • Selon un communiqué du département d'État, ces fonds doivent aider les Forces armées libanaises (FAL) et les Forces de sécurité intérieure (FSI, chargées du maintien de l'ordre) à « garantir la souveraineté du Liban dans tout le pays ».
  • C'est ce dernier qui est à l'origine de la réunion des donateurs internationaux qui a eu lieu jeudi « avec partenaires et alliés pour évoquer le soutien crucial à la sécurité du Liban afin de pérenniser la cessation des hostilités avec Israël ».

WASHINGTON : Lles États-Unis ont annoncé  samedi le transfert de 117 millions de dollars destinés à soutenir les forces de l'ordre et l'armée libanaises, à l'issue d'une réunion de donateurs internationaux, jeudi.

Selon un communiqué du département d'État, ces fonds doivent aider les Forces armées libanaises (FAL) et les Forces de sécurité intérieure (FSI, chargées du maintien de l'ordre) à « garantir la souveraineté du Liban dans tout le pays ».

C'est ce dernier qui est à l'origine de la réunion des donateurs internationaux qui a eu lieu jeudi « avec partenaires et alliés pour évoquer le soutien crucial à la sécurité du Liban afin de pérenniser la cessation des hostilités avec Israël ».

Un cessez-le-feu a pris effet fin novembre entre le mouvement islamiste pro-iranien Hezbollah et Israël, après plus d'un an de bombardements de part et d'autre, ainsi qu'une incursion des forces israéliennes en territoire libanais à partir de fin septembre.

L'enveloppe annoncée samedi par le département d'État « démontre son engagement à continuer à travailler avec ses partenaires et alliés pour s'assurer que le Liban bénéficie du soutien nécessaire pour renforcer la sécurité du pays et de la région ».

Samedi, le président libanais, Joseph Aoun, a réclamé le retrait de l'armée israélienne « dans les délais fixés » par l'accord de cessez-le-feu.

Ce dernier prévoit le déploiement de l'armée libanaise aux côtés des Casques bleus dans le sud du pays et le retrait de l'armée israélienne dans un délai de 60 jours, soit d'ici au 26 janvier.

Le Hezbollah doit, pour sa part, retirer ses forces au nord du fleuve Litani, à environ 30 km de la frontière libano-israélienne. 


Manifestation pour revendiquer la libération de l'opposante Abir Moussi

Des partisans d'Abir Moussi, chef du Parti Destourien Libre (PDL), participent à une manifestation demandant sa libération, à Tunis le 18 janvier 2025. (Photo FETHI BELAID / AFP)
Des partisans d'Abir Moussi, chef du Parti Destourien Libre (PDL), participent à une manifestation demandant sa libération, à Tunis le 18 janvier 2025. (Photo FETHI BELAID / AFP)
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  • Plusieurs centaines de sympathisants du Parti destourien libre (PDL), qui revendique l'héritage des autocrates Bourguiba et Ben Ali, ont manifesté samedi en Tunisie pour réclamer la libération de leur dirigeante, l'opposante Abir Moussi.
  • Soupçonnée d'avoir voulu rétablir un pouvoir similaire à celui de Zine El Abidine Ben Ali, renversé en 2011 par la première révolte du Printemps arabe.

TUNIS : Plusieurs centaines de sympathisants du Parti destourien libre (PDL), qui revendique l'héritage des autocrates Bourguiba et Ben Ali, ont manifesté samedi en Tunisie pour réclamer la libération de leur dirigeante, l'opposante Abir Moussi.

Brandissant des pancartes sur lesquelles on pouvait lire « Liberté pour Abir » ou « Nous sommes des opposants, pas des traîtres ! », ils étaient entre 500 et 1 000, selon des journalistes de l'AFP. Beaucoup portaient des drapeaux tunisiens et des photos de la dirigeante du PDL.

Ils ont critiqué virulemment à la fois le président Kaïs Saied et le parti islamo-conservateur d'opposition Ennahdha. Mme Moussi, ex-députée de 49 ans, est en détention depuis son arrestation le 3 octobre 2023 devant le palais présidentiel, où, selon son parti, elle était venue déposer des recours contre des décrets de M. Saied.

Mme Moussi fait l'objet de plusieurs accusations, dont celle particulièrement grave de tentative « ayant pour but de changer la forme de l'État », soupçonnée d'avoir voulu rétablir un pouvoir similaire à celui de Zine El Abidine Ben Ali, renversé en 2011 par la première révolte du Printemps arabe.

Les manifestants ont dénoncé le décret 54 sur les « fausses nouvelles », en vertu duquel Mme Moussi est poursuivie dans cette affaire, et dont l'interprétation très large a entraîné l'incarcération depuis septembre 2022 de dizaines de politiciens, d'avocats, de militants ou de journalistes.

Pour Thameur Saad, dirigeant du PDL, emprisonner Mme Moussi pour des critiques envers l'Isie « n'est pas digne d'un pays se disant démocratique ». « Les prisons tunisiennes sont désormais remplies de victimes du décret 54 », a renchéri à l'AFP Karim Krifa, membre du comité de défense de Mme Moussi.

D'autres figures de l'opposition, dont le chef d'Ennahdha, Rached Ghannouchi, sont également emprisonnées.

Depuis le coup de force de M. Saied à l'été 2021, l'opposition et les ONG tunisiennes et étrangères ont déploré une régression des droits et des libertés en Tunisie. Le chef de l'État a été réélu à une écrasante majorité de plus de 90 % des voix le 6 octobre, lors d'un scrutin marqué toutefois par une participation très faible (moins de 30 %).


L'Égypte annonce que 50 camions-citernes de carburant entreront chaque jour dans la bande de Gaza

Le ministère palestinien de la Santé a déclaré qu'une frappe aérienne israélienne sur le camp de réfugiés de Jénine, en Cisjordanie occupée, a tué cinq personnes mardi, l'armée israélienne confirmant avoir mené une attaque dans la région. (Photo d'archives de l'AFP)
Le ministère palestinien de la Santé a déclaré qu'une frappe aérienne israélienne sur le camp de réfugiés de Jénine, en Cisjordanie occupée, a tué cinq personnes mardi, l'armée israélienne confirmant avoir mené une attaque dans la région. (Photo d'archives de l'AFP)
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  • Le ministre égyptien des Affaires étrangères, Badr Abdelatty, a annoncé samedi que 50 camions-citernes chargés de carburant devaient entrer dans la bande de Gaza à partir de dimanche, marquant le début du cessez-le-feu.
  • M. Abdelatty, dont le pays, le Qatar et les États-Unis ont servi de médiateur, a déclaré que l'accord prévoyait « l'entrée de 600 camions par jour dans la bande, dont 50 de carburant ».

LE CAIRE : Le ministre égyptien des Affaires étrangères, Badr Abdelatty, a annoncé samedi que 50 camions-citernes chargés de carburant devaient entrer dans la bande de Gaza à partir de dimanche, marquant le début du cessez-le-feu.

M. Abdelatty, dont le pays, le Qatar et les États-Unis ont servi de médiateur, a déclaré que l'accord prévoyait « l'entrée de 600 camions par jour dans la bande, dont 50 de carburant ».

La trêve devrait entrer en vigueur dimanche à 13 h 30 GMT, ouvrant ainsi la voie à un afflux massif d'aide, selon les médiateurs.

Des centaines de camions sont garés du côté égyptien du poste frontière de Rafah, un point d'entrée autrefois vital pour l'aide humanitaire, fermé depuis mai, lorsque les forces israéliennes ont pris le contrôle du côté palestinien du point de passage.

Au cours d'une conférence de presse conjointe avec son homologue nigérian, M. Abdelatty a déclaré : « Nous espérons que 300 camions se rendront au nord de la bande de Gaza », où des milliers de personnes sont bloquées dans des conditions que les agences humanitaires qualifient d'apocalyptiques.

Les travailleurs humanitaires ont mis en garde contre les obstacles monumentaux qui pourraient entraver les opérations d'aide, notamment la destruction des infrastructures qui traitaient auparavant les livraisons.