Le professeur d’économie à l’université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou, Mohamed Dahmani, actuellement en retraite active, vient de publier un nouvel ouvrage intitulé Tazeqqa. Des origines à son extinction, sorti aux éditions Achab.
C’est le résultat d’une quarantaine d’années de quête, de sorties sur le terrain, de fixation sur des clichés argentiques d’un millier de villages des massifs du Djurdjura, des Babors, du Guergour et des Bibans.
«Nous avons découvert des ‘musées à ciel ouvert’», précise l’auteur pour décrire un précieux capital patrimonial. Il cite, entre autres, les maisons traditionnelles de Tizi Ghenif, de Maâtkas, des Ath Zmenzer, des Ouadhias et des Ath Aïssi. «Tazeqqa est construite avec des matériaux locaux, matériels n’ayant subi aucune transformation et qui sont tous extraits ou produits localement (la terre, le bois, le roseau, le diss, les tuiles, le chaume, la chaux…) », souligne le chercheur.
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